Thérèse EJ, Lettres 1183

1183 1. Note 1. La veille de sa profession, soeur Geneviève trouve dans sa cellule une enveloppe timbrée à l'effigie de la Sainte-Face et portant l'adresse reproduite sur la page en regard. Dans l'enveloppe, un parchemin enluminé. Y figurent les armoiries de Céline avec sa devise: " Qui perd gagne " et le texte qui suit.

2.
Note 2. Cf. MSA 73,2v et LT 185.

3. Note 3. D'après la traduction de la Règle du Carmel.

4.
Note 4. Cf. LT 174, n. 1 . Soeur Geneviève reprendra en 1916 son vocable " de la Sainte-Face ", devenant définitivement " Geneviève de la Sainte-Face ".

5. Note 5. Cf. PN 10,4, 4+.

6. Note 6. Cf. PRI 17.

7. Note 7. Allusion au monogramme IHS; cf. LT 179, n. 2 .

8. Note 8. Cf. LT 118 et MSA 77,2v.

9. Note 9. Le lundi 24 février 1896, saint Matthias étant transféré au 25 du fait de l'année bissextile, l'Office célébré fut celui de l'Agonie de N.-S.



1184 1. Note 1. Le soir du 5 décembre 1891, Thérèse avait resueilli la " dernière larme " de Mère Geneviève (cf. MSA 78,2v). C'est cette relique qu'elle offre aujourd'hui à sa soeur, au nom de la fondatrice.



1185 1. Note 1. Image-souvenir pour sa profession et sa prise de voile.

2.
Note 2. " Il a posé son signe sur ma face ": répons de l'Office de sainte Agnès, repris par le cérémonial de l'imposition du voile. Cf. PN 26,7.

3. Note 3. Les petits frères et soeurs dont il a été question en LT 182.



1187 1. Note 1. La profession de soeur Marie de la Trinité, 30 avril 1896. Le billet fut déposé sur le lit de la jeune professe que Thérèse avait couvert de myosotis. " Je me fais l'effet de Jeanne d'Arc assistant au sacre de Charles VII ", dira Thérèse de cette profession (Circulaire de soeur Marie de la Trinité, p. 7). La persévérance de la jeune carmélite était en effet, dans une large mesure, son oeuvre.



1188 1. Note 1. Parole de saint Jean de la Croix (cf. LT 81), avec addition de Thérèse: " Par Amour ". Les textes de cette LT 188 figurent sur une image du saint.

2. Note 2. Sentences 129, 103 et 70, extraites des Maximes et Avis spirituels de notre Bienheureux Père Saint Jean de la Croix, l'un des rares livres que Thérèse eut à son usage.

3.
Note 3. Prise de voile de soeur Marie de la Trinité.



1189 1. Note 1. Date de la première messe du P. Roulland, ordonné le 28 juin.

2.
Note 2. Cf. MSC 33,2v, MSC 32,1r et CJ 8.7.16.

3. Note 3. Cf. PN 17,10 PN 24,17 PN 35,5 PN 47,5; RP 4,4v.

4. Note 4. Mère Marie de Gonzague avait demandé à Thérèse le secret au sujet de cette correspondance. Le P. Roulland est pour la communauté " le missionnaire de Notre Mère " (cf. LT 221).


1190 1. Note 1. Depuis l'élection laborieuse du 21 mars, Mère Marie de Gonzague souffre de l'attitude de certaines soeurs. Thérèse recueille malgré elle les confidences, plaintes et larmes de sa prieure. Par le détour d'une parabole, elle tente de lui faire comprendre que sa croix lui vient du Ciel et non pas de la terre ".

2.
Note 2. Rôles faciles à distribuer: la bergère, Mère Marie de Gonzague; les brebis, les soeurs professes; les agneaux, les jeunes soeurs du noviciat; le petit agneau, Thérèse. Cf. MSC 3,2v.

3. Note 3. Mère Marie de Gonzague avait sans doute envisagé sa démission et son départ pour un autre Carmel.

4.
Note 4. Il s'agit, évidemment, des sept scrutins qui furent nécessaires pour qu'une majorité suffisante se degageât enfin.

5.
Note 5. Peut-être Mère Marie de Gonzague avait-elle souhaité la réélection de Mère Agnès?

6.
Note 6. Aucun document n'a permis d'identifier les religieuses concernées.

7.
Note 7. Citation biblique reprise dans les Impropères du Vendredi Saint.

8.
Note 8. Cette sentence était inscrite sur le mur, au pied de l'escalier que Thérèse montait chaque jour pour gagner sa cellule. Cf. aussi PN 30.

9. Note 9. Cf. MSB 2,1r: " Dites-moi si le Bon Dieu me laissera longtemps sur la terre... Viendra-t-Il bientôt me chercher? " (...) " Oui, bientôt, bientôt... Je vous le promets."



1191 1. Note 1. Cf. CJ 2.9.4:
" Haute comme ça dans la famille! "

2. Note 2. Léonie écrivait le 1er juillet: " Si tu savais comme toujours je pense à toi, et ton souvenir m'est si doux, il me rapproche de Dieu et je comprends ton désir d'aller le voir bientôt pour te perdre éternellement en Lui: moi aussi je le désire comme toi, j'aime à entendre parler de la mort et je ne comprends pas les personnes qui aiment cette vie de souffrance et de mort continuelle.
" Pour toi, ma chérie, tu es prête à aller voir le bon Dieu, sûrement tu serais bien reçue; mais moi, hélas! j'arriverais les mains vides et pourtant j'ai la témérité de ne pas avoir peur, comprends-tu cela? c'est incroyable; je le sais et j'en conviens, mais je ne puis m'en empêcher. " (LC 164.)

3.
Note 3. Cf. LT 258 qui reprend et développe la comparaison.

4. Note 4. Léonie interrogeait: " Comment vas-tu? ma petite soeur chérie, sur ce sujet seulement, je n'ai pas confiance en toi car tu me dis toujours que tu vas bien ou mieux et je n'en crois rien du tout. " Quand tu m'écriras, surtout, dis-moi la vérité exactement. " (LC 164.)



1192 1. Note 1. Le médecin de la communauté.

2.
Note 2. Cf. PN 34: " Jeter des Fleurs! ", poésie du 28 juin.

3. Note 3. Allusion à un cantique humoristique composé quelques jours auparavant par soeur Marie de l'Eucharistie (cf. " Poésies supplémentaires ", Ps 4).

4. Note 4. Ceci concerne Francis La Néele, habile chasseur.

5.
Note 5. A la sacristie.



1193 1. Note 1. Thérèse conservera cette photo dans son écritoire; cf. CG, pp. 877s.+a.

2.
Note 2. Image-souvenir de son ordination.

3.
Note 3. Cité dans la Règle du Carmel.



1194 1. Note 1. Les billets de Thérèse à soeur Marie de Saint-Joseph ne sont pas datés. Pour leur datation approximative, cf. CG, p. 886.

2.
Note 2. Soeur Marie de Saint-Joseph.

3.
Note 3. Cf. MSB 3,1r. Remarquer les nombreux points de contact de ce billet et du suivant avee le Ms B.



1195 1. Note 1. Thérèse.

2.
Note 2. Guimpes de toile blanche.



1196 1. Note 1. Cette Lettre constitue la première partie du MSB 1,1

2. Note 2. Soeur Marie du Sacré-Coeur vient de lui remettre ce billet: " Ma petite Soeur chérie, je vous écris non pas que j'aie quelque chose à vous dire mais pour avoir quelque chose de vous, de vous qui êtes tout près du bon Dieu, de vous qui êtes sa petite épouse privilégiée à qui il confie tous ses secrets... Ils sont bien doux les secrets de Jésus à Thérèse et je voudrais encore les entendre. Ecrivez-moi un petit mot, c'est peut-être votre dernière retraite car la grappe dorée de Jésus doit lui faire envie à cueillir (...) Notre Mère a permis que vous me répondiez par retour du courrier. " (LC 169, 13/9/1896.) Thérèse répond sans doute le soir même.

3.
Note 3. Petit bréviaire du Sacré-Coeur de Jésus, p. 58.

4.
Note 4. Les " pages suivantes " désignent les quatre folios du Ms B proprement dit, écrits le 8 septembre. Les expressions employées dans cette fin de lettre montrent à l'évidence que celle-ci a été écrite après la " deuxième partie " du Ms B.



1197 1. Note 1. Cette " réponse " de Thérèse représente une mise au point importante de sa doctrine. Il est donc indispensable de lire en son entier le billet que lui avait écrit soeur Marie du Sacré-Coeur, après réception du Ms B: " Petite soeur chérie, j'ai lu vos pages brûlantes d'amour pour Jésus, votre petite marraine est bien heureuse de posséder ce trésor et bien reconnaissante envers sa petite fille chérie qui lui a dévoilé ainsi les secrets de son âme. Oh! que j'aurais à vous dire sur ces lignes marquées au sceau de l'amour. - Un mot seulement qui me regarde. Comme le jeune homme de l'Evangile un certain sentiment de tristesse m'a saisie devant vos désirs extraordinaires du martyre. Voilà bien la preuve de votre amour, oui, vous le possédez l'amour, mais moi! non jamais vous ne me ferez croire que je puis atteindre à ce but désiré. Car je redoute tout ce que vous aimez.
" Voilà bien une preuve que je n'aime pas Jésus comme vous. Ah! vous dites que vous ne faites rien, que vous êtes un pauvre petit oiseau chétif, mais vos désirs, pour quoi les comptez-vous? Le bon Dieu, Lui, les regarde comme des oeuvres.
" Je ne puis vous en dire plus long, j'ai commencé ce petit mot ce matin et je n'ai pas eu une minute pour le finir, il est cinq heures. Je voudrais bien que vous disiez par écrit à votre petite marraine si elle peut aimer Jésus comme vous. Mais deux mots seulement car ce que j'ai suffit à mon bonheur et à ma peine. A mon bonheur en voyant à quel point vous êtes aimée et privilégiée, à ma peine en pressentant le désir qu'a Jésus de cueillir sa petite fleur chérie! Oh! j'avais bien envie de pleurer en lisant ces lignes qui ne sont pas de la terre, mais un écho du Coeur de Dieu... Voulez-vous que je vous dise? Eh bien, vous êtes possédée par le bon Dieu, mais possédée ce qui s'appelle... absolument comme les méchants le sont du vilain.
" Je voudrais bien être possédée aussi moi par le bon Jésus. Mais je vous aime tant que je me réjouis après tout de vous voir plus privilégiée que moi.
" Un petit mot pour petite marraine. " (LC 170, 17/9/1896.)

2.
Note 2. Cf. Im. .

3.
Note 3. Le Père Pichon, retraite d'octobre 1887 au Carmel de Lisieux, conférence du 7e jour.

4.
Note 4. Cf. saint Augustin, De bono viduitatis.

5.
Note 5. La troisième après Thérèse et Céline, soeur Marie du Sacré-Coeur a fait son offrande à l'Amour miséricordieux durant l'été 1895. Cf. CG, pp. 896s.+f et Prières, pp. 87s.

6.
Note 6. Affirmation à replacer dans le contexte de LT 196; 197, et spécialement du Ms B: " C'est ma faiblesse même qui me donne l'audace de m'offrir (3v). On est au Coeur de la " petite voie ". MSB 3

7. Note 7. En réalité, Im , citant Pr 31,10.

8. Note 8. Pour aller à l'Office de matines.

9.
Note 9. Note ajoutée par Thérèse. Dans le texte (1), elle a biffé " à la Justice ".



1198 1. Note 1. De Caen où il était entré à la caserne en novembre 1895, Maurice Bellière avait envoyé le 21/7/1896 un message désespéré à la prieure du Carmel: " Je suis plongé dans une situation déplorable - et il faut, à tout prix, que ma chère soeur Thérèse de l'Enfant- Jésus, me tire de là - il faut qu'elle fasse violence au Ciel. " (CG, p. 871.)

2.
Note 2. Le 14 octobre, veille de sainte Thérèse d'Avila, l'abbé Bellière écrivait à Mère Marie de Gonzague: " Merci, ma bonne Mère, du secours que vous m'avez prêté dans un moment de détresse - La tempête a passé, le calme est revenu et le pauvre soldat est redevenu le séminariste d'autrefois. " Il ajoutait sur une carte, parlant de Thérèse: " C'est demain sa fête. " (CG, p. 903.)

3.
Note 3. Cf. sainte Thérèse d'Avila, Chemin de la Perfection, chap. III.

4. Note 4. Cf. sainte Thérèse d'Avila, Chemin de la Perfection, chap. I. Thérèse a copié cette sentence sur le rouleau qu'elle tient pour la photo de juillet 1896 (VTL, n 29; cf. CG, p. 873+c). Elle l'a reprise à la même époque en PN 35,4.



1199 1. Note 1. Pour le travail de la lingerie, voir note 4.

2.
Note 2. Abréviation de " petit frère ". Thérèse est l'autre " petit frère ": cf. LT 195.

3. Note 3. C'est-à-dire chanter.

4.
Note 4. Sans doute pour détirer le linge encore humide, ce qui tenait lieu de repassage.



1200 1. Note 1. Rappel probable de l'incident survenu " dans les escaliers de la caserne " (LT 199).



1201 1. Note 1. Vie du P. Nempon, Missionnaire apostolique du Tonkin occidental, par G. Monteuuis (Victor Retaux et Fils, Paris 1895).

2.
Note 2. Le P. Roulland témoignera plus tard: " Le 8 Septembre 1890, j'avais des hésitations sur ma vocation et sur mon entrée au Grand Séminaire. Pendant que je priais à la Chapelle de Notre-Dame-de-la- Délivrande, je fus subitement et définitivement fixé. " Le même jour, Thérèse faisait profession au Carmel.

3.
Note 3. Cf.MSC 33,1r.

4. Note 4. Cité en Im .

5.
Note 5. Cf. LT 189, note 4 .

6. Note 6. Le 26 septembre, le P. Roulland écrivait à Thérèse: " Le 25 Xbre vous m'enverrez vos intentions; je les devine: vous remercierez le Seigneur de ce jour de grâces entre tous, probablement le jour où le bon Dieu vous a appelée au Carmel. " (LC 171.) La maladie empêchera le missionnaire de célébrer cette messe de Noël; cf. CJ 1.8.9.

7. Note 7. Cf. MSA 44,2v/45r.

8. Note 8. Sainte Thérèse d'Avila, Chemin de la Perfection, chap. VIII.

9. Note 9. Cf. LT 36 et MSA 63,1r.

10. Note 10. Le chanoine Delatroëtte.

11.
Note 11. L'expression n'est pas de Thérèse d'Avila, mais de saint François de Sales. Cf RP 7,1r et infra n. 6

12. Note 12. Pendant la traversée, en août-septembre 1896, le P. Roulland avait lu un cahier de poésies composées par Thérèse. Il lui écrit à ce propos: " Je vous en prie, ma soeur, déposez souvent aux pieds de Jésus, au nom de votre frère, quelques-uns des sentiments qui embrasent votre coeur: à cette condition je continuerai de dire tous les matins: " Mon Dieu, embrasez ma soeur de votre amour." " (LC: 171.)

13.
Note 13. L'abbé Bellière.



1202 1. Note 1. Boileau, Art poétique.

2.
Note 2. Ses trois soeurs et sa cousine, Marie Guérin.

3.
Note 3. Faut-il en conclure que Thérèse n'avait guère de voix? C'est assez probable; cf CG, p. 917+c.



1203 1. Note 1. On peut supposer que ce billet fait suite à l'incident du vésicatoire relaté dans les Cahiers verts; cf. DE II (DP), p. 38.


1204 1. Note 1. Thérèse fait allusion aux nombreux dérangements que la charge d'économe impose à Mère Agnès. Plusieurs expressions de ce billet sont empruntées à la vie de la soeur Marie de Saint-Pierre, de Tours, chère à Mère Agnès.

2.
Note 2. Expression caractéristique de Thérèse en ses derniers mois; cf. DE, pp 412s.

3.
Note 3. Réminiscence d'un Noël d'Auvergne qu'on aimait chanter aux Buissonnets.


1206 1. Note 1. " Le petit Ambassadeur "; cf. LT 205.



1207 1. Note 1. L'un des surnoms de soeur Geneviève, tiré d'une romance chantée aux Buissonnets.

2.
Note 2. " Monsieur Toto "; cf. LT 179, note 1 .

3. Note 3. Après sa mort.

4.
Note 4. " Demoiselle Lili "

5.
Note 5. Au Carmel de Saigon qui réclame des " fondatrices " pour celui de Hanoï récemment fondé. Peu auparavant, semble-t-il, soeur Geneviève a envisagé ce départ en Asie, pour elle-même et pour Thérèse. Voir son billet inédit (LC 172 bis) dans Lettres - Une course de géant, p. 481.



1208 1. Note 1. Ce billet et les deux suivants mettent encore en scène " Monsieur Toto " et " Demoiselle Lili ".

2.
Note 2. Chaufferette à braise, dont Mère Marie de Gonzague avait imposé l'usage à Thérèse pendant l'hiver 1896-1897. A titre de seconde infirmière, soeur Geneviève était qualifiée pour " faire grâce " ou non à sa soeur.

3.
Note 3. Office des petites heures, récité à sept heures en hiver.

4.
Note 4. Une soeur dispensée du lever matinal accrochait un papier à la clenche de sa cellule. Pour le " second réveil ", vers six heures quarante, une religieuse frappait à chacune des portes munies de ce papier.

5.
Note 5. Soeur Geneviève frictionnait Thérèse avec une ceinture de crin. Cf. CJ 27.7.17.

6. Note 6. Aux soeurs malades.



1209 1. Note 1. Soeur Geneviève a noté que ses " défauts (la) tenaient constamment dans l'humiliation ", car - dit-elle - " avec mon caractère impétueux il m'arrivait souvent de petites sorties avec les soeurs. Sorties qui m'affligeaient beaucoup à cause de mon grand amour-propre ".



1210 1. Note 1. Instrument de bois muni d'une sorte de crécelle qu'on agitait sous les cloîtres et dans les dortoirs pour le premier réveil, à 5 h 45 en hiver.



1211 1. Note 1. L'enveloppe porte cette adresse: " Envoi de la Ste Vierge à mon Enfant Chérie sans asile sur la terre étrangère. "

2.
Note 2. Cf. LT 209, note 1 .

3. Note 3. Cf. Im .

4.
Note 4. Les " genoux de Jésus " ou les " genoux du bon Dieu ": place convoitée par Toto et Lili lorsqu'ils seront en paradis; cf. DE, pp. 595 et 603.

5.
Note 5. Cf. LT 192, et sa note 2 .



1212 1. Note 1. Soeur Marie de la Trinité explique ainsi l'origine de cette lettre: " La Servante de Dieu suivait l'attrait de mon âme pour la conduire à Jésus. (...) A cette époque, très enfant de caractère, je me servais d'une méthode assez originale pour pratiquer la vertu: celle de réjouir l'Enfant Jésus en jouant avee Lui toute espèce de jeux spirituels. Sr Thérèse de l'Enfant-Jésus m'y encouragea par la lettre suivante... "

2.
Note 2. C'est l'Enfant Jésus qui parle. L'enveloppe porte cette adresse: " Personnelle. A ma petite Epouse Chérie Joueuse de Quilles sur la Montagne du Carmel. "

3.
Note 3. Ces quilles, explique soeur Marie de la Trinité, " je me les représentais de toutes grandeurs et de toutes couleurs, afin de personnifier les âmes que je voulais atteindre ".

4.
Note 4. Thérèse reprend les paroles de sa novice quelques jours plus tôt: " Au mois de décembre 1896, les novices reçurent, au profit des missions, différents bibelots pour un arbre de Noël. Et voilà que, par hasard, il se trouva au fond de la boite (...): une toupie. Mes compagnes dirent: " Que c'est laid! A quoi cela peut-il servir? " Moi qui connaissais bien le jeu, j'attrapai la toupie en m'écriant: " Mais c'est très amusant! ça pourrait marcher une journée entière sans s'arrêter, moyennant de bons coups de fouet! " Et là-dessus je me mis en devoir de leur donner une représentation qui les jeta dans l'étonnement. Soeur Thérèse de l'Enfant-Jésus m'observait sans rien dire. " (Souvenirs de S. Marie de la Trinité.)



1213 1. Note 1. L'abbé Bellière écrivait à Thérèse le 28 novembre 1896: " Le Maître m'envoie une rude épreuve - comme il fait à ceux qu'Il aime et je suis bien faible - Il va m'envoyer sans doute, dans quelques jours, au séminaire des Missions Africaines - Mon désir va se trouver enfin réalisé - mais j'ai bien à lutter - j'ai à briser de chères et grandes affections - des habitudes de bien-être douces et chères aussi - tout un passé riant et heureux qui me sollicite encore vivement - J'ai besoin de force, ma bien chère soeur. " (LC 172.) On a le sommaire de la réponse de Thérèse dans son brouillon, qui montre sa manière de procéder (cf. CG, p. 934).

2.
Note 2. Verset qui revient souvent dans la liturgie de Noël

3.
Note 3. P.Pichon; cf. LT 172.



1214 1. Note 1. Soeur Geneviève a noté: " Ce billet m'était offert par un bébé, en chromo fort relief, muni aussi d'une petite fleur



1216 1. Note 1. Première allusion explicite à sa mort prochaine dans la correspondance de Thérèse.

2.
Note 2. Allusion probable à ce vers de Soumet: " Pour qui seraient les Cieux s'ils n'étaient pas pour toi? " (Jeanne d'Arc martyre.) La variante introduite par Thérèse: " S'il y a un Ciel " est une allusion voilée à son épreuve de la foi. Cf. RP 3,22r/v, qui attribue par erreur ce vers à d'Avrigny.

3. Note 3. C'est-à-dire depuis que Mère Agnès n'est plus prieure.



1217 1. Note 1. Couplets composés par soeur Marie de Saint-Joseph.

2.
Note 2. Thérèse elle-même à qui soeur Marie de Saint-Joseph a demandé de lui composer une poésie.

3.
Note 3. Cf. LT 204, n. 3 .

4. Note 4. Allusion à la voix harmonieuse de soeur Marie de Saint-Joseph.

5.
Note 5. Complainte du Juif errant, 15e strophe.

6.
Note 6. Travail de raccommodage confié aux lingères: soeur Marie de Saint-Joseph et Thérèse.


1218 1. Note 1. La bénédiction du Saint-Père pour le Carmel, à l'occasion des noces d'or de la doyenne des carmélites, soeur Saint-Stanislas.



1219 1. Note 1. Déconvenue dont on ignore les circonstances.

2.
Note 2. Sur le nez long de Mère Agnès, cf. CJ 8.7.5, et sur le " petit nez " de Thérèse, cf. CJ 31.7.3.



1220 1. Note 1. Le carême qui commence le 3 mars.

2.
Note 2. Voici des extraits de cette lettre: " Ma bien chère Soeur en N.S. La bonté dont Dieu use envers moi est bien touchante et celle qu'll vous a communiquée opère profondément en mon âme toute réconfortée par les attentions que votre charité vous inspire. Je me sens devenir meilleur chaque fois qu'il m'arrive un peu de la piété dont on vit au Carmel - et je voudrais aimer Jésus comme vous l'aimez là-bas. Vous l'aviez en votre coeur, quand vous composiez, ma Soeur, ce cantique d'amour que vous avez daigné m'envoyer. On y respire un souffle divin qui rend pur et fort. (...) Je voudrais pouvoir chanter comme vous, ma chère soeur, pour dire à Jésus les sentiments que les vôtres m'inspirent - Mais Lui tout bon daigne agréer seulement ma prose rude et courte. Son Coeur si tendre ne fait pas trop attention à la forme et sa Grâce descend toujours. Oh! oui, ma soeur, Vivons d'amour. " (LC 174, 31/1/1897.)

3.
Note 3. Sa poésie Vivre d'Amour, (PN 17)du 26 février 1895.

4. Note 4. L'abbé Bellière est désormais assuré de partir pour l'Afrique en octobre: " L'an prochain, ce sera le Noviciat, la préparation prochaine et après = En avant, Dieu et Labeur. Quand je baptiserai mon premier petit noir, je demanderai à votre Vénérée Mère que vous soyez la marraine - car il sera vôtre, vous l'aurez attiré à Dieu plus que moi. " (LC 174.)

5.
Note 5. Cf. demande analogue au P. Roulland, LT 189.

6. Note 6. Poésie Vivre d'Amour!, PN 17,9.

7. Note 7. Office de matines, à 21 heures.

8.
Note 8. Aux trois jours dits des Quarante-Heures.



1221 1. Note 1. Dans sa lettre du 20 janvier, le P. Roulland racontait ainsi son arrivée en mission: " Comme vous l'avez fait je vais écrire sur toutes les lignes, ne pas perdre de papier et avec la permission de notre bonne Mère je vous dirai deux mots seulement du cher Su-Tchuen oriental. J'arrive aux limites de cette province, je récite le Te Deum, offre au bon Dieu ce que je suis et ce que j'ai: je pense à Ste Thérèse qui disait: ou souffrir, ou mourir; pourquoi ces paroles sont-elles venues à mon esprit, j'en ai eu vite l'explication. Je vous dirai le fait et vous penserez comme moi. Je finis mon offrande et je suis obligé de me coucher; deux jours encore et nous descendons à Kouy-Fou chez un confrère. Mon malaise augmente; on appelle le médecin chinois, car d'Européen il n'y a ici que le Père; je suis déclaré incapable de continuer mon voyage; adieu donc aux chers confrères mes compagnons. Dix jours après, la fièvre se déclare, grosse fièvre, espèce de tribut que je paye au climat. Pendant dix jours je déraisonne, mais, paraît-il, tout ce que j'ai dit n'était que de nature à faire rire. Le premier médecin m'abandonne; un second, jadis persécuté pour la foi, vient et m'administre force quinine. La fièvre, facilement mortelle si elle est continue, devient chez moi périodique et le mieux commence à paraître. Aujourd'hui je suis à peu près guéri. Voilà le fait; je conclus: c'est aux prières des personnes qui prennent intérêt de moi, et surtout aux vôtres que je n'ai pas chanté mon Nunc Dimitis en entrant dans ma Mission. (...) Je vous avais dit qu'à Noël je célébrerais une messe à vos intentions, et j'étais au lit: j'accomplirai ma promesse aussitôt que je le pourrai. " (LC 173.)

2.
Note 2. Cantique spirituel, Explication de la str. XXIX.

3. Note 3. Im. ; cf. CJ 29.5.

4. Note 4. " Carte de visite " en caractères chinois.

5.
Note 5. Vie et Correspondance de J. Théophane Vénard. Cette lecture est à l'origine de l'une des " grandes amitiés " de Thérèse. Il en résultera un vrai réconfort pour la carmélite malade et mourante; cf CJ 21/26.5.1.

6. Note 6. Poésie A Théophane Vénard (PN 47, 2/2/ 1897).

7. Note 7. Cf.MSC 9,2v/10r.

8. Note 8. Sainte Thérèse d'Avila, Chemin de la Perfection, chap. III.

9. Note 9. Cf. " Vous désirez qu'une des petites filles que je baptiserai s'appelle Marie (Ma ly ia) Thérèse (Te le sa). Choisissez entre les deux noms car les Chinois n'en portent qu'un. " (LC 173.) Thérèse avait formulé ce souhait dans sa lettre du 27 ou 28/7/1896, non conservée; cf. CG, p 874

10.
Cf. LT 189, note 4 .



1222 1. Note 1. Thérèse a signé et annoté une lettre de soeur Marie de l'Eucharistie à son père; cf. LD en CG, p. 967.

2.
Note 2. Le chanoine Maupas, supérieur.



1223 1. Note 1. On ignore à quel propos.



1224 1. Note 1. L'abbé Bellière vient d'écrire longuement, pour Pâques, à Mère Marie de Gonzague et à Thérèse. Voici des extraits de sa lettre à cette dernière: " Ma bonne et bien chère petite Soeur (...) J'accours tout ensemble vous dire tout le plaisir que vous m'avez donné par les poésies que vous avez eu la bonté de me copier; elles ont dû prendre beaucoup du temps de vos récréations et je vous demande presque pardon d'avoir été la cause de ce travail; pourtant je n'insiste pas trop car vraiment j'ai eu trop de plaisir. Vous n'attendez pas, ma chère soeur, que je les apprécie; je n'y songe pas non plus, estimant avec une juste raison que je demeurerais au-dessous de l'exactitude - sachez seulement que j'ai été ravi et heureux - ce ne sont pas de banals compliments que je vous adresse, mais l'expression de mon sentiment. Vous composiez pour les Carmélites, mais les Anges doivent chanter avec vous, et les hommes tout grossiers qu'ils sont, comme moi, trouvent un charme vrai à lire et à chanter cette poésie du coeur. Tout m'a plu et particulièrement peut-être: " Mon chant d'Aujourd'hui " - "A Th. Vénard (et pour cause) - " Rappelle-toi " - " A mon Ange gardien ", etc. Pardon, je m'aperçois que je nommerais tout. Oui, tout m'est agréable et précieux. Merci, simplement mais sincèrement, pour votre bonté. Vous savez prendre toutes les nuances, douceur avee les Sacristines du Carmel avec, tout à côté, les mâles accents du guerrier dans " Mes Armes " - j'aime vous voir parler lance, casque, cuirasse, athlète - et je souriais à la pensée de vous voir ainsi armée. Cependant Jeanne d'Arc, que vous aimez et que, chaque jour j'invoque moi-même sous ce titre que j'ai salué à la fin du cantique: SAINTE Jeanne de France, Jeanne d'Arc les porta et aussi ces armes que vous chantez et qui sont sans doute sa plus belle parure. Je suis et serai, ma soeur, fidèle à la petite prière que vous m'indiquez - c'est Sacré - toujours je la ferai, même si... votre exil était court. Je vous avais devinée, ma soeur, j'avais souligné dans le cantique de l'Amour ce vers: " J'en ai l'espoir, mon exil sera court ", et cet autre: " Je le sens, mon exil va finir. " Je comprends vos désirs, votre impatience: vous êtes prête, petite soeur, à entrer au Ciel et votre Epoux Jésus peut à tout instant tendre la main qui vous mettra sur le trône de la gloire; vous êtes impatiente comme l'Epouse du Cantique - " Tirez-moi " à Vous, dit-elle, se traînant aux pieds du Bien-aimé, toute défaillante de la flamme qui la dévore - En analysant et méditant ce Cantique des Cantiques, je l'appliquais à la Carmélite et à son Jésus - et c'est sans doute pour cela que je l'ai rédigé en ce sens comme naturellement et que par places sont venus se ranger des vers du " Vivre d'Amour " et autres. Et vous avez raison lorsque vous dites qu'il ne m'est pas permis de chanter comme vous! non, vraiment, j'ai d'abord à faire oublier à Dieu par un rude labeur et une vraie pénitence un passé de péché, et ensuite faire quelque chose pour Dieu, travailler à Sa vigne. Avant d'être à l'honneur, Jeanne d'Arc fut à la peine, et plus que tout autre j'ai à expier. Et si j'y arrive jamais, je vous dirai alors: Ma soeur, demandez à Dieu que je succombe à la peine; demandez - pourquoi pas? - que je meure martyr(!) Ce fut mon rêve toute ma vie; autrefois, j'ambitionnais de mourir pour la France, aujourd'hui pour Dieu et, vous savez: " Si mourir pour son Prince est un illustre sort ", " Quand on meurt pour son Dieu, quelle sera la mort ". (...)
" Je vous remercie aussi de vos intentions comme marraine mais ne voulez-vous pas aussi donner des noms en souvenir de vous-même au petit Bédouin - si le 1er était une fille! - Je vous prie d'avoir cette bienveillance. " (LC 177, 17- 18/4/1897.)

2.
Note 2. Texte relevé par Thérèse d'après un Bulletin du Sacré-Coeur de décembre 1896; cf. Vie et oeuvres de la Bienheureuse Marguerite-Marie Alacoque. Sa vie inédite par les Contemporaines, Poussièlgue, 1867, t. 2, p. 347.

3.
Note 3. Cf. MSC 4,1r.

4. Note 4. Poésie Vivre d'Amour!. (PN 17,9), du 26/2/1895.

5. Note 5. MSA 2,1r.

6. Note 6. Cf. MSA 32,1r.



1225 1. Note 1. Journée de récréation extraordinaire pendant laquelle les soeurs avaient permission, " licence " de s'entretenir librement l'une l'autre.

2.
Note 2. " Pour aller en Cochinchine "; cf. CJ 21/26.5.2.

3. Note 3. Heure de sieste facultative de midi à 13 heures en été.

4.
Note 4. Mère Marie de Jésus, qui avait succédé à Mère Philomène de l'Immaculée Conception, fondatrice venue de Lisieux en 1861.



1226 1. Note 1. Le 24 février, le P. Roulland écrivait à Thérèse: " Ma soeur, je ne vous écris pas longuement, car je suis sur le point de monter à Tchoug-Kin, je ne réponds pas même à votre longue lettre qui me fait beaucoup de bien. Je veux seulement vous envoyer des reliques d'un futur martyr; j'en ai laissé à mes parents le jour où je quittai ma famille; je leur en ai envoyé de Shang-Hai. Pourquoi n'en enverrais-je pas aussi à ma soeur? En ce moment nous ne sommes pas en danger imminent de mourir, mais d'un jour à l'autre, nous pouvons recevoir des coups de couteau; nous ne serions pas martyrs dans la force du terme, mais en dirigeant bien notre intention: en disant, par exemple, Mon Dieu, c'est pour votre amour que nous sommes venus ici, agréez le sacrifice de notre vie et convertissez des âmes, - n'est-ce pas que nous serions assez martyrs pour aller au Ciel... (...) Enfin nous sommes à la disposition du bon Dieu, si les brigands m'assassinent et si je ne suis pas digne d'entrer immédiatement au Ciel, vous me tirerez du purgatoire et j'irai vous attendre au Paradis. (...) Vous me dites, ma soeur, que vous offrez au bon Jésus mon amour avee le vôtre; eh bien! à la Ste Messe j'offre le vôtre avec le mien, après la Ste Communion; je suis certain que Jésus en voyant cette offrande me pardonnera le peu d'amour que moi j'ai pour Lui. Au memento des morts je pense à vos parents défunts. " (LC 175, 24/2/ 1897.)

2.
Note 2. Le P. Roulland apprenait le chinois; cf. sa lettre à Thérèse, du 20 janvier 1897: " Quand ferai-je mon premier baptême, ma première conversion? Hélas, je ne suis qu'un tout petit enfant: je ne sais pas parler. Je vais passer quelques mois dans une famille chrétienne, apprendre la langue, les moeurs, etc., et puis l'apostolat avee un ancien confrère d'abord. " (LC 173.)

3.
Note 3. On vient d'apprendre le 1er mai, au Carmel de Lisieux, le massacre de ce missionnaire de vingt-six ans, tué par des pillards, parce qu'Européen; cf. CJ 1.5.2.

4. Note 4. Cf. MSA 3,2v et MSA 76,1r.

5. Note 5. Cf. LT 225, note 3 .



1227 1. Note 1. En réalité dix-sept ans (13/5/1880); cf. MSA 25,1r.



1228 1. Note 1. Cf. LT 208, note 5 .

2. Note 2. Surnom du Dr de Cornière; cf. DE, p. 708.

3.
Note 3. Cf. LT 207, note 1 .

4. Note 4. " Monsieur Toto " (Thérèse). Soeur Geneviève la frictionnait le matin, avant l'Office de prime, pendant le temps du grand silence.

5.
Note 5. Cf. .



1229 1. Note 1. On ignore à quel propos; sans doute du fait de son état de santé.

2.
Note 2. Première apparition de ce mot sous la plume de Thérèse. Le MSC 3,1r, développera bientôt le thème de l'ascenseur; cf. CG, p. 989+c.

3. Note 3. Voici la réponse de Mère Agnès à ce billet: " Au même moment où je prenais ma petite plume pour exhaler un soupir, j'ai reçu votre petit mot, ô mon Ange chéri! Cela a fait déborder le petit vase, oui mais, cela a fait aussi comme un tour de physique car le petit vase plein d'eau bien amère n'a pu deborder aussitôt que de la liqueur bien douce et bien suave. Puis je me disais tantôt: je voudrais bien qu'avant de partir mon petit ange me dise ce qu'elle fera pour moi là-haut, j'ai besoin d'avoir cela dans mes petites consolations et voilà que son petit mot me dit justement la chose. Eh bien! mourez maintenant, je sais que là-haut vous vous occuperez encore de votre petite Mère, mourez bien vite pour que mon coeur n'ait plus ici-bas aucune attache, pour que tout ce que j'aime soit là-haut. Voilà que je me mets à verser de grosses larmes en écrivant cela et je n'y vois plus... je ne sais ce que j'ai aujourd'hui, JAMAIS je n'avais été aussi sûre de votre fin prochaine. Pauvre petit ange ou plutôt heureux petit ange, si vous saviez ce qui vous attend! oh! que vous serez bien reçue! quelle fête pour toute l'assemblée des Saints. Comme la Vierge Immaculée vous pressera tendrement sur son coeur. Vous serez comme un petit enfant que chacun se passera pour bercer et caresser, puis les petits Innocents iront avee fierté vous prendre par votre petite main, ils vous montreront à vous servir de vos ailes, ils vous apprendront leurs jeux.
" Oh! demandez qu'ils me fassent dans leurs rangs une petite place à moi aussi. " (LC 179, 23/5/1897.)




Thérèse EJ, Lettres 1183