2013 Directoire prêtres 101

Temps “sabbatiques”

101 Le danger de l’habitude, la fatigue physique due au surmenage auquel les prêtres sont soumis à cause de leur ministère, surtout aujourd’hui ; la fatigue psychologique elle-même parce qu’ils doivent souvent lutter contre l’incompréhension, les malentendus, les préjugés, l’opposition à des forces organisées et puissantes qui veulent donner l’impression que de nos jours, ils appartiennent à une minorité culturellement obsolète : voici certains des facteurs qui peuvent introduire un malaise dans l’âme du pasteur.

Pour pouvoir assumer au mieux les urgences pastorales et même à cause d’elles, il convient « d’avoir le courage et l’humilité de se reposer ».[419] Même si habituellement c’est le repos ordinaire qui pourvoira à ce que le prêtre récupère des forces et continue à travailler pour le Royaume de Dieu, il se peut qu’il doive bénéficier de périodes plus ou moins brèves pour parler plus longuement et plus intensément avec le Seigneur Jésus, reprenant ainsi force et courage pour continuer son chemin de sanctification.

Pour répondre à cette exigence particulière, dans de nombreux lieux déjà, différentes initiatives ont été expérimentées, avec des résultats souvent prometteurs. Ces expériences sont intéressantes et peuvent être prises en considération, malgré les difficultés de certaines régions qui souffrent plus particulièrement de la carence numérique de prêtres.

Dans ce but, les monastères, les sanctuaires et les autres lieux de spiritualité, si possible loin des grands centres urbains, pourraient jouer un rôle important, en laissant le prêtre libre de toute responsabilité pastorale directe pendant la période où il s’y retire.

Dans certains cas, il pourra être utile que ces haltes aient comme finalité l’étude ou l’approfondissement des sciences sacrées, sans oublier pour autant le ressourcement spirituel et apostolique.

Dans tous les cas, on évitera avec soin le danger de considérer cette période sabbatique comme un temps de vacances, ou de la revendiquer comme un droit. Plus que jamais, pendant ce temps de repos, le prêtre doit sentir le besoin de célébrer le Sacrifice eucharistique, centre et origine de sa vie.



Maison du clergé

102 Là où c’est possible, il faut souhaiter l’érection d’une « maison du clergé », lieu pour les rencontres de formation et point de référence en de nombreuses autres circonstances. Cette maison devrait offrir toutes les structures qui la rendent confortable et accueillante.

Là où un tel centre n’existe pas encore et semble nécessaire, il est conseillable de créer, au niveau national ou régional, des structures adaptées au rétablissement physique, psychique et spirituel des prêtres qui en ont besoin.



Récollections et exercices spirituels

103 Comme le prouve la longue expérience spirituelle de l’Église, les récollections et les exercices spirituels sont un instrument efficace et idoine pour une formation permanente adéquate du clergé. Aujourd’hui encore, ils conservent toute leur actualité et toute leur nécessité. Allant à contre-courant d’une attitude qui viderait l’homme de toute intériorité, le prêtre doit retrouver Dieu et se retrouver lui-même, en pratiquant des haltes spirituelles pour s’immerger dans la méditation et la prière.

À cet effet la législation canonique établit que les clercs « sont tenus de faire les retraites spirituelles, selon les dispositions du droit particulier ».[420] Les deux modalités les plus courantes, qui peuvent être prescrites par l’évêque pour son propre diocèse, sont la récollection spirituelle d’un jour, si possible mensuelle et la retraite annuelle de six jours.

Il est tout à fait opportun que l’évêque organise les récollections et les exercices spirituels annuels, de manière à ce que chaque prêtre puisse choisir parmi ceux qui sont normalement donnés dans le diocèse ou hors du diocèse, par des prêtres exemplaires, des Associations sacerdotales[421] ou des Instituts religieux que leur charisme oriente particulièrement vers la formation spirituelle, ou dans des monastères.

Il est aussi recommandé d’organiser une retraite spéciale pour les prêtres ordonnés durant les dernières années, à laquelle l’évêque lui-même prendra une part active.[422]

Durant ces rencontres, il est important de mettre en lumière des thèmes spirituels, d’offrir de larges espaces de silence et de prière, de soigner particulièrement les célébrations liturgiques, le sacrement de la Pénitence, l’adoration eucharistique, la direction spirituelle et les actes de vénération et de culte envers la Bienheureuse Vierge Marie.

Pour donner une plus grande importance et une plus grande efficacité à ces moyens de formation, l’évêque pourra nommer dans ce but un prêtre qui aura pour tâche d’en fixer les dates et les modalités.

Dans tous les cas, il faut que les récollections et spécialement les exercices spirituels annuels soient vécus comme des temps de prière et non pas comme des cours de mise à jour théologique et pastorale.


Nécessité d’une programmation

104 Tout en reconnaissant les difficultés habituelles que rencontre généralement la formation permanente, principalement dues aux devoirs nombreux et graves auxquels sont appelés les prêtres, celles-ci sont surmontables s’il existe un engagement authentique et responsable.

Pour être à la hauteur des circonstances et affronter l’urgence du travail d’évangélisation, il est nécessaire – entre autres instruments – que soit menée une courageuse action pastorale visant à s’occuper particulièrement des prêtres. Il est indispensable que les évêques exigent, avec la force de la charité, que leurs prêtres appliquent avec générosité les dispositions légitimes prises dans ce domaine.

Le « plan de formation permanente » doit être non seulement conçu ou programmé, il doit être aussi réalisé. Pour cela, il est nécessaire que le travail soit clairement structuré, qu’il comporte des objectifs, des contenus et des instruments. « Cette responsabilité conduit l’évêque, en union avec le presbyterium, à établir et à organiser un programme de formation permanente qui n’en fasse pas quelque chose de ponctuel, mais plutôt un projet bien élaboré qui se déroule par étapes selon des modalités précises ».[423]



3.3 Les responsables


Le prêtre lui-même

105 Le prêtre lui-même est le premier et le principal responsable de sa formation permanente. En effet, chaque prêtre a le devoir d’être fidèle au don de Dieu et à la dynamique de conversion quotidienne qui en découle.[424]

Nul ne peut remplacer le prêtre dans sa tâche de veiller sur lui-même (cf.
1Tm 4,16). Participant en effet de l’unique sacerdoce du Christ, il est appelé à révéler et à actualiser, selon sa vocation unique, certains aspects de l’extraordinaire richesse de grâce qu’il a reçue.

D’autre part, les conditions et les situations de vie de tout prêtre sont telles que, même d’un point de vue strictement humain, elles exigent qu’il s’engage personnellement dans sa formation pour faire fructifier ses capacités et ses dons.

Par conséquent, le prêtre participera activement aux rencontres de formation, s’appuyant sur ses compétences et ses possibilités concrètes pour apporter sa contribution. Il veillera à acquérir et à lire des livres et des revues dont la doctrine est sûre et l’utilité éprouvée pour la vie spirituelle et pour l’accomplissement fructueux de son ministère.

Parmi les lectures, le premier rang doit être occupé par la Sainte Écriture, puis par les écrits des Pères, des docteurs de l’Église, et des maîtres de spiritualité anciens et modernes, et les documents du magistère ecclésiastique, qui constituent la source la plus autorisée et la plus actuelle de la formation permanente. En outre, les écrits et les biographies des saints s’avéreront d’une grande utilité. Les prêtres par conséquent les étudieront et les approfondiront directement et personnellement pour pouvoir mieux les présenter aux fidèles laïcs.



L’aide des confrères

106 Dans tous les aspects de l’existence sacerdotale, on trouve les « liens particuliers de charité apostolique, de ministère et de fraternité »,[425] qui sont le fondement de l’aide réciproque entre prêtres.[426] Il est souhaitable que croisse et se développe la coopération de tous les prêtres dans le soin de leur vie spirituelle et humaine, ainsi que de leur service ministériel. L’aide qui doit être fournie aux prêtres dans ce domaine peut trouver un appui solide dans les diverses associations sacerdotales. Il s’agit d’associations qui « ayant des statuts approuvés par l’autorité compétente, au moyen d’un programme de vie approprié et reconnu comme il convient, ainsi que par l’aide fraternelle, stimulent leur sainteté dans l’exercice du ministère et contribuent à l’union des clercs entre eux et avec leur évêque propre ».[427]

Dans cette perspective, il faut respecter avec soin le droit de chaque prêtre diocésain à organiser sa vie spirituelle comme il le juge opportun, conformément toujours – comme c’est évident – aux caractéristiques de sa vocation et des liens qui en découlent.

Le travail que ces associations, tout comme les mouvements et les nouvelles communautés approuvés, accomplissent en faveur des prêtres, est tenu en grande considération par l’Église,[428] qui le reconnaît aujourd’hui comme un signe de la vitalité avec laquelle l’Esprit Saint la renouvelle continuellement.


L’Evêque

107 Même si la portion du Peuple de Dieu qui lui a été confiée est vaste avec de nombreux besoins pastoraux, l’évêque doit réserver une sollicitude tout à fait particulière à la formation permanente de ses prêtres.[429]

Il existe en effet un rapport spécial entre l’évêque et ses prêtres, dû au « fait que les prêtres reçoivent par lui leur sacerdoce et partagent avec lui sa sollicitude pastorale pour tout le Peuple de Dieu ».[430] Ce rapport détermine aussi les responsabilités spécifiques de l’évêque dans le domaine de la formation sacerdotale. En effet, l’évêque doit avoir l’attitude d’un père vis-à-vis de ses prêtres, en commençant par les séminaristes. Il évitera les distances et un style propre à un employeur. En vertu de sa fonction, il doit toujours être proche de ses prêtres, facilement accessible. Sa sollicitude doit avoir comme premier objet ses propres prêtres, c’est-à-dire ses collaborateurs dans son ministère épiscopal.

Ces responsabilités s’exercent vis-à-vis de chaque prêtre, d’où une formation la plus personnalisée possible, et vis-à-vis de tous, en tant que membres du presbyterium du diocèse. À cet égard, l’évêque ne manquera pas de cultiver avec soin la communication et la communion entre les prêtres. En particulier, il veillera à ce que la formation permanente conserve ses caractéristiques propres, éduquant la conscience des prêtres sur son importance et sa nécessité, l’organisant en établissant un plan de formation, et en prévoyant les structures et les personnes nécessaires à sa mise en oeuvre.[431]

Il faut que l’évêque s’implique dans la formation de ses prêtres. Par conséquent il doit avoir à coeur sa propre formation permanente. L’expérience enseigne que plus l’évêque s’engage dans sa propre formation, plus il sait encourager et soutenir celle de son presbyterium.

Dans cette oeuvre délicate, l’Evêque, tout en jouant un rôle irremplaçable qu’il ne peut déléguer, saura s’appuyer sur la collaboration du conseil presbytéral. Le conseil, par sa nature et par ses finalités, est l’organisme adéquat pour assister l’évêque dans tout ce qui regarde, par exemple, l’élaboration du plan de formation.

De plus, l’évêque se sentira soutenu et aidé dans sa tâche par ses confrères, les autres évêques, réunis en Conférence.[432]


La formation des formateurs

108 Aucune formation n’est possible s’il n’y a pas, outre le sujet qui doit se former, un autre sujet qui forme, le formateur. Le bienfait et l’efficacité d’un plan de formation dépendent partiellement des structures mais principalement de la personne du formateur.

Il est évident que, vis-à-vis de ces formateurs, la responsabilité de l’évêque devient particulièrement importante. « En premier lieu, il a la tâche délicate de former les formateurs pour qu’ils acquièrent cette “science de l’amour” que l’on n’apprend que dans le “coeur à coeur” avec le Christ ».[433] Sous la direction de l’évêque, ces prêtres n’auront pas d’autre désir que de servir leurs confrères dans ce travail de formation.

Il est par conséquent nécessaire que l’évêque lui-même nomme un groupe de formateurs dont les membres soient choisis parmi les prêtres hautement qualifiés et estimés pour leur préparation et leur maturité humaine, spirituelle, culturelle et pastorale. Les formateurs en effet doivent être avant tout des hommes de prière, des enseignants dotés d’un sens puissant du surnaturel, à la profonde vie spirituelle, à la conduite exemplaire, avec une bonne expérience du ministère sacerdotal, capables de conjuguer, comme les Pères de l’Église et les saints de tous les temps, les exigences spirituelles avec les nécessités proprement humaines du prêtre. Les formateurs peuvent aussi être choisis au sein du corps professoral des séminaires, des centres ou institutions universitaires approuvés par l’autorité ecclésiastique, ou bien encore parmi les membres de ces instituts religieux dont le charisme touche directement la vie et la spiritualité sacerdotales. Dans tous les cas, on doit garantir l’orthodoxie de leur doctrine et leur fidélité à la discipline ecclésiastique. De plus, les formateurs doivent jouir de la confiance de l’évêque, qui demeure le responsable ultime de la formation des prêtres, ses plus précieux collaborateurs.

Il est opportun de créer aussi un groupe de programmation et de réalisation, qui soit différent de celui des formateurs pour aider l’évêque à fixer tous les projets annuels de la formation permanente pour chacune de ses facettes ; à préparer le matériel nécessaire ; à prévoir les cours, les sessions, les rencontres et les récollections ; à organiser opportunément les calendriers, en prévoyant les absences et les remplacements des prêtres, etc. Pour une programmation adéquate, on pourra aussi prévoir l’intervention de quelque spécialiste sur un sujet donné.

Alors qu’il est suffisant de créer un seul groupe de formateurs, il est en revanche possible d’organiser plusieurs groupes de programmation et de réalisation, si les nécessités le requièrent.


Collaboration entre Églises

109 Plusieurs Églises particulières, soit à l’échelle nationale ou régionale, ou des diocèses limitrophes ou plus proches peuvent fixer d’un commun accord par l’intermédiaire des Conférences épiscopales, des moyens collectifs de formation permanente, leur programmation et celle de leurs contenus concrets – sous condition que chaque évêque reste responsable de sa circonscription –. On pourrait ainsi utiliser, si besoin en était, les structures interdiocésaines comme les Facultés et les Instituts de théologie et de pastorale, ou bien les organismes et les fédérations engagés dans la formation presbytérale. Cette union des forces, en plus de réaliser une authentique communion entre les Églises particulières, pourrait offrir à tous des opportunités de formation permanente techniquement meilleures et plus stimulantes.[434]


Collaboration de centres d’étude et de spiritualité

110 De plus, les Instituts d’étude et de recherche, les centres de spiritualité, tout comme les sanctuaires et les monastères d’observance exemplaire constituent des points d’ancrage pour la mise à jour théologique et pastorale, pour vivre des oasis de silence, pour la prière, la confession sacramentelle et la direction spirituelle, pour le repos nécessaire y compris physique, pour des moments de fraternité sacerdotale. De cette manière aussi, les familles religieuses pourraient collaborer à la formation permanente et contribuer à cette rénovation du clergé qui est une exigence de la nouvelle évangélisation du troisième millénaire.



3.4 Tranches d’âge et situations spéciales


Premières années de sacerdoce

111. Les premières années après leur ordination, les prêtres devraient pouvoir facilement trouver les conditions de vie et de ministère qui leur permettent de mettre en pratique l’idéal transmis durant la période de formation au séminaire.[435] Ces années, qui constituent une mise à l’épreuve de leur formation initiale après le premier contact avec la réalité, sont les plus décisives pour l’avenir. Elles requièrent une maturation harmonieuse pour faire face aux moments de difficulté avec force et foi. Dans ce but, les jeunes prêtres devront pouvoir bénéficier du rapport personnel avec leur évêque et avec un père spirituel plein de sagesse ; de moments de repos, de méditation, de récollection mensuelle. En outre, il semble utile de souligner la nécessité, pour les jeunes prêtres surtout, de s’inscrire dans un cheminement de foi dans le presbyterium ou la communauté paroissiale en sachant pouvoir compter sur l’accompagnement de l’évêque ou de confrères prêtres qui ont été délégués à cette fin.

En tenant compte de ce qu’on a dit sur l’année pastorale, il faudra organiser dans les premières années du sacerdoce des rencontres annuelles de formation, durant lesquelles seront élaborés et approfondis opportunément des thèmes théologiques, juridiques, spirituels et culturels, des sessions spéciales dédiées à des problèmes de morale, de pastorale, de liturgie, etc. Ces rencontres peuvent être aussi l’occasion de renouveler la faculté de confesser, selon ce qu’établissent le code de droit canonique et l’évêque.[436] Il serait aussi utile de favoriser une vie en commun familière entre jeunes prêtres et prêtres plus âgés, pour permettre l’échange d’expériences, la connaissance réciproque et la délicate pratique évangélique de la correction fraternelle.

Dans de nombreux lieux, des rencontres brèves ont été organisées à l’intention des jeunes prêtres au cours de l’année sous la direction de l’évêque, par exemple pour ceux qui ont moins de dix années de sacerdoce. Celles-ci se sont avèrent très bénéfiques et ont comme objectif d’accompagner ces jeunes prêtres de plus près. Ces rencontres donnent également l’occasion de parler de la spiritualité sacerdotale, des défis que doivent relever les ministres, de la pratique pastorale etc., dans une atmosphère de convivialité fraternelle et cordiale.

Il faut en fin de compte que le jeune clerc croisse dans une ambiance spirituelle de vraie fraternité et de délicatesse, manifestées par l’attention prêtée à la personne, notamment en ce qui concerne la santé physique et les divers aspects matériels de l’existence.



Après quelques années

112 Après un certain nombre d’années de ministère, les prêtres ont acquis une expérience incontestable. Ils sont à même de se donner entièrement à l’expansion du Royaume de Dieu dans le travail quotidien. Ce groupe de prêtres constitue une grande ressource spirituelle et pastorale.

Ils ont besoin d’encouragement, de juste valorisation, d’approfondissement de leur formation dans toutes ses dimensions, dans le but de s’autoévaluer et d’évaluer leur agir ; de raviver les motivations du ministère sacré ; de réfléchir sur les méthodologies pastorales à la lumière de l’essentiel dans la communion presbytérale et l’amitié de leur évêque ; de surmonter les expériences éventuelles de fatigue, de frustration, de solitude ; de redécouvrir enfin les sources profondes de la spiritualité sacerdotale.[437]

Il est par conséquent important que ces prêtres bénéficient de sessions de formation et d’approfondissement spécifiques qui examinent, outre les sujets théologiques et pastoraux, les difficultés psychologiques et affectives qui peuvent surgir durant cette période. Il est donc recommandé que non seulement l’évêque, mais aussi des experts participent à de telles rencontres pour apporter une contribution solide et sûre à la solution de ces problèmes.


L’âge avancé

113 Les prêtres avancés en âge, qui méritent la considération la plus délicate, participent aussi à la formation permanente, non pas pour des études approfondies ou des débats culturels, mais pour « une confirmation sereine et apaisante du rôle qu’ils sont encore appelés à jouer dans le presbyterium ».[438]

En plus de leur participation à la formation organisée pour les prêtres d’âge moyen, ils pourront profiter de temps et de lieux particuliers, de rencontres spéciales pour approfondir le sens contemplatif de la vie sacerdotale, pour redécouvrir et apprécier les richesses doctrinales des études passées, pour se sentir utiles – ce qu’ils sont. Leurs compétences peuvent être valorisées dans certains ministères, par exemple comme confesseurs expérimentés ou comme directeurs spirituels. En particulier ils pourront partager avec les autres leurs expériences, encourager, accueillir, écouter et pacifier leurs confrères, être disponibles quand on leur demandera « de devenir eux-mêmes d’authentiques maîtres et formateurs des autres prêtres ».[439]


Prêtres en situations spéciales

114 Indépendamment de leur âge, les prêtres peuvent se trouver dans « une condition de fragilité physique ou de lassitude morale ».[440] En offrant leur souffrance, ils contribuent éminemment à l’oeuvre de la rédemption et rendent « un témoignage marqué du signe de la croix, acceptée dans l’espérance et la joie pascale ».[441]

La formation permanente de ces prêtres doit les encourager « à continuer à servir l’Église d’une façon sereine et courageuse »[442] et être ainsi un signe éloquent du primat de l’être sur l’agir, des contenus sur les techniques, de la grâce sur l’efficacité extérieure. Ils pourront alors vivre l’expérience de saint Paul : « Je me réjouis de souffrir pour vous, et ce qui manque aux tribulations du Christ, je le complète dans ma chair au profit de son corps qui est l’Église » (
Col 1,24).

L’évêque et les autres prêtres ne devront jamais manquer de visiter périodiquement ces frères malades, afin, entre autres, de les tenir informés de la vie du diocèse et de les aider à se sentir des membres à part entière du presbyterium et de l’Église universelle qu’ils édifient avec leurs souffrances.

On devra entourer d’une affection particulière les prêtres proches de la fin de leur cheminement terrestre, après une vie dépensée au service de Dieu pour le salut de leurs frères.

Au réconfort continuel de la foi, à l’empressement dans l’administration des sacrements, s’adjoindront les prières du presbyterium tout entier.


Solitude du prêtre

115 À tous les âges et dans toutes les situations, le prêtre peut faire l’expérience de la solitude.[443] Cette solitude, loin d’être comprise comme un isolement psychologique, peut être la conséquence tout à fait normale d’une adhésion sincère à l’Évangile, et constituera par là une dimension irremplaçable de la vie personnelle. Dans certains cas cependant, elle peut être due à des difficultés particulières, comme la marginalisation, les incompréhensions, les déviations, les abandons, les imprudences, les limites du caractère personnel ou de celui d’autrui, les calomnies, les humiliations, etc. Il peut en naître un puissant sentiment de frustration, extrêmement délétère.

Cependant ces moments de difficulté peuvent aussi devenir, avec l’aide du Seigneur, des occasions privilégiées pour un nouveau progrès sur le chemin de la sainteté et de l’apostolat. Le prêtre peut en effet découvrir qu’il « s’agit d’une solitude habitée par la présence du Seigneur ».[444] Il est évident que ceci n’atténue pas la grave responsabilité de l’évêque et du presbyterium tout entier, d’éviter toute solitude qui naîtrait d’une négligence de la communion sacerdotale. Il revient au diocèse de fixer comment organiser des rencontres pour les prêtres afin qu’ils fassent l’expérience de vivre ensemble, apprenant les uns des autres, s’encourageant et s’aidant mutuellement car personne n’est prêtre tout seul et ce n’est que dans cette communion avec l’évêque que chacun peut accomplir son service.

Il ne faut pas oublier non plus ces confrères qui ont abandonné l’exercice du ministère sacré. On doit leur offrir les aides nécessaires, et surtout celles de la prière et de la pénitence. La charité qu’on doit vivre à leur égard ne doit pas aboutir à envisager de leur confier des fonctions ecclésiales : ceci pourrait créer la confusion et le trouble, surtout parmi les fidèles, à cause de la situation de ces confrères.




CONCLUSION


Le Maître de la moisson, qui appelle et qui envoie les ouvriers dans son champ (cf. Mt 9,38), a promis avec une fidélité éternelle : “ Je vous donnerai des pasteurs selon mon coeur » (Jr 3,15). C’est sur cette fidélité divine toujours vivante et opérante dans l’Église [445] que repose l’espérance de recevoir des vocations sacerdotales abondantes et saintes, espérance déjà réalisée dans de nombreux pays. C’est cette même fidélité divine qui assure que le Seigneur ne manquera pas d’accorder à son Église la lumière nécessaire pour affronter la passionnante aventure des filets jetés au large.

Au don de Dieu, l’Église répond par l’action de grâces, la fidélité, la docilité à l’Esprit, la prière humble et insistante.

Pour réaliser sa mission apostolique le prêtre doit graver dans son coeur ces paroles du Seigneur : « Père, je t’ai glorifié sur la terre, en menant à bonne fin l’oeuvre que tu m’avais donnée à faire, donner la vie éternelle aux hommes » (Jn 17,2-4). Aussi, fera-t-il de sa vie, un don de soi à l’Église – racine et synthèse de la charité pastorale –, à l’image du don du Christ.[446] De cette manière il se dépensera avec joie et paix pour ses frères, en vivant comme un signe de charité surnaturelle, dans l’obéissance, dans la chasteté du célibat, dans la simplicité et le respect de la discipline de communion dans l’Église.

Dans son oeuvre d’évangélisation, le prêtre transcende l’ordre naturel « pour être chargé d’intervenir en faveur des hommes dans leurs relations avec Dieu » (He 5,1). Il est en effet appelé à élever l’homme en le faisant naître à la vie divine et en le faisant croître en elle, jusqu’à la plénitude du Christ. C’est pour cela qu’un prêtre authentique, motivé dans sa fidélité envers le Christ et envers l’Église, constitue en réalité une force incomparable de progrès pour le monde entier.

« La nouvelle évangélisation a besoin de nouveaux évangélisateurs, de prêtres qui s’engagent à vivre leur sacerdoce comme un chemin de sainteté ».[447] Ce sont les hommes de Dieu qui accomplissent les oeuvres de Dieu !

Comme le Christ, le prêtre doit se présenter au monde comme un modèle de vie surnaturelle : « C’est un exemple que je vous ai donné afin que vous fassiez vous aussi, comme j’ai fait pour vous » (Jn 13,15).

Le témoignage de vie qualifie le prêtre et constitue sa prédication la plus convaincante. La discipline ecclésiastique elle-même, vécue au nom de motifs intérieurs profonds, devient une aide providentielle pour vivre l’identité sacerdotale, pour grandir dans la charité et pour faire resplendir le témoignage sans lequel serait illusoire toute préparation culturelle ou toute programmation rigoureuse. “Faire” ne sert à rien s’il manque “l’être avec le Christ ”.

C’est ici que se situe l’horizon de l’identité, de la vie, du ministère, de la formation permanente du prêtre : une tâche immense, ouverte, courageuse, illuminée par la foi, soutenue par l’espérance, enracinée dans la charité.

Personne n’est seul dans cette oeuvre aussi nécessaire qu’urgente. Il faut que les prêtres se sentent soutenus par leurs évêques qui exerceront leur gouvernement pastoral de manière exemplaire, ferme et vigoureuse, dans une communion transparente avec le Siège Apostolique, tout comme dans une collaboration fraternelle avec l’ensemble du presbyterium et tout le Peuple de Dieu.

Que tout prêtre se confie à Marie, étoile de la nouvelle évangélisation. Elle fut « dans sa vie un modèle de cet amour maternel dont doivent être animés tous ceux qui, associés à la mission apostolique de l’Église, coopèrent à la régénération des hommes ».[448] En Elle, les prêtres trouveront protection constante et aide pour renouveler leur vie et pour faire naître de leur sacerdoce un élan évangélisateur plus intense et plus neuf, en ce troisième millénaire de la Rédemption.



Le Souverain Pontife Benoît XVI a approuvé ce Directoire le 14 janvier 2013 et en a ordonné la publication.



Rome, Palais des Congrégations, 11 février 2013, en la mémoire de Notre-Dame de Lourdes.

Mauro Card. Piacenza

Préfet



+ Celso MorgaIruzubieta

Archevêque tit. de Alba marittima

Secrétaire



Prière à la très sainte Vierge Marie

Marie,
Mère de Jésus-Christ et Mère des prêtres,
reçois ce titre que nous te donnons
pour célébrer ta maternité
et contempler près de toi le Sacerdoce
de ton Fils et de tes fils,
Sainte Mère de Dieu !


Mère du Christ.
tu as donné au Messie Prêtre son corps de chair
par l’onction de l’Esprit-Saint
pour le salut des pauvres et des hommes
au coeur contrit,
garde les prêtres dans ton coeur et dans l’Église,
Mère du Sauveur !


Mère de la foi,
tu as accompagné au Temple le Fils de l’homme,
accomplissement des promesses faites à nos pères,
confie au Père, pour sa gloire,
les prêtres de ton Fils,
Arche de l’Alliance !

Mère de l’Église,
au Cénacle, parmi les Disciples,
tu priais l’Esprit
pour le Peuple nouveau et ses Pasteurs,
obtiens à l’ordre des prêtres
la plénitude des dons,
Reine des Apôtres !


Mère de Jésus-Christ,
tu étais avec Lui au début de sa vie
et de sa mission,
tu l’as cherché, Maître parmi la foule,
tu l’as assisté, élevé de terre,
consommé pour le sacrifice unique éternel,
et tu avais près de toi Jean, ton fils,
accueille les appelés du Seigneur,
lors de leurs premiers pas sur leur chemin,
protège leur croissance,
accompagne dans la vie et dans le ministère
ceux qui sont tes fils,
ô toi, Mère des prêtres !

Amen ! [449]




[132]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 17 ; Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Lumen gentium, 28 ; Décr. Presbyterorum Ordinis, 8 ; C.I.C. can. 275, §1.
[133]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 74 ; Congrégation pour l’Évangélisation des Peuples, Guide pastoral pour les prêtres diocésains des Églises dépendant de la Congrégation pour l’Évangélisation des Peuples, 6 : l.c., 1593-1594.
[134]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 8 ; C.I.C. can. 369 ; 398 ; 499.
[135]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Lumen gentium, 8 ; Benoît XVI, Angelus (19 juin 2005) : Enseignements I (2005), 255-256 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Ecclesia in Africa, 63.
[136]   Cf. Pontificale Romanum, De Ordinatione Episcopi, Presbyterorum et Diaconorum, cap. II, 105 : 130, l.c., 54 ; 66-67 ; Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 8.
[137]   Catéchisme de l’Église Catholique, 875.
[138]   C.I.C. can. 214-215.
[139]  Cf. Jean-Paul II, Discours dans la Cathédrale de Quito aux Évêques, aux Prêtres, aux Religeux et aux Séminaristes (29 janvier 1985) : Enseignements VIII/1 (1985), 247-253.
[140]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 31.
[141]   Cf. Ibid, 17, 74.
[142]   C.I.C. can. 498 §1, 2°.
[143]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 31.
[144]   Cf. ibid., 31 ; 41 ; 68.
[145]   Cf. C.I.C. can. 214-215.
[146]   Cf. C.I.C. can. 271.
[147]   Cf. Benoît XVI, Message pour le Carême 2012 (3 novembre 2012) : aas 104 (2012), 199-204.
[148]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 74.
[149]   Jean-Paul II,  Audience générale (4 août 1993), 4 : Enseignements XVI/2, 139-140.
[150]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 12-14.
[151]   Cf. ibid., 8.
[152]   Cf. Saint Augustin, Sermones, 355-356, De vita et moribus clericorum : PL 39, 1568-1581.
[153]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Lumen gentium, 28 ; Décr. Presbyterorum Ordinis, 12-; Décr. Christus Dominus, 30.
[154]   Cf. Sacrée Congrégation pour les Évêques, Directoire Ecclesiae Imago (20 fevrier 1973), 112 : l.c. 1343-1344 ; Congrégation pour les «Évêques, Directoire Apostolorum Successores pour le ministre pastoral des Évêques (22 février 2004), LEV, Cité du Vatican 2004, 211 ; C.I.C. can. 280 ; 245, §1 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 81.
[155]   Benoît XVI, Audience privée aux prêtres de la Fraternité de saint Charles à l’occasion du XXVème anniversaire de la fondation (12 février 2011) : “L’Osservatore Romano”, 13 février 2011, 8.
[156]   Paul VI, Lettre encyclique Sacerdotalis caelibatus, 80.
[157]   Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 26 ; 99 ; Istitutio generalis Liturgiae Horarum, 25.
[158]   Cf. C.I.C. can. 278 §2 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 31 ; 68 ; 81.
[159]   Cf. C.I.C. can. 550 §2.
[160]   Cf. ibid. can. 545 §1.
[161]   Cf. ibid. can. 533 §1.
[162]   Cf. ibid. can. 1226 ; 1228.
[163]   Benoît XVI, Audience privée aux prêtres de la Fraternité de saint Charles à l’occasion du XXVème anniversaire de la fondation (12 février 2011) : l.c., 8.
[164]   Benoît XVI, Homélie à l’occasion de la célébration des Vêpres (Fatima, 12 mai 2010) Enseignements VI/1 (2010).
[165]   Benoît XVI, Audience privée aux prêtres de la Fraternité de saint Charles à l’occasion du XXVème anniversaire de la fondation (12 février 2011) : l.c., 8.
[166]   Saint Cyprien, De Oratione Doini, 23 : PL 4, 553 ; cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Lumen gentium, 4.
[167]   Jean-Paul II, Audience générale (4 août 1993), 4 : Enseignements XVI/2, 139-140.
[168]   Cf. Jean-Paul II, Audience générale (7 juillet 1993), Enseignements XVI/2, 34-44 ; Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 15.
[169]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 15.
[170]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 9 ; C.I.C. can. 275, §2 ; 529, §2.
[171]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 74.
[172]   Cf. C.I.C. can. 529, §2.
[173]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Lumen gentium, 31.
[174]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 74 ; Paul VI, Lettre encyclique Ecclesiam suam (6 août 1964), III : AAS 56 (1964), 647.
[175]   Cf. Congrégation pour le Clergé, Le prêtre, ministre de la miséricorde divine. Subside pour les confesseurs et directeurs spirituels (9 mars 2011) : LEV, Cité du Vatican 2011.
[176]   Cf. Jean-Paul II, Audience générale (7 juillet 1993) : l.c., 34-44.
[177]   Cf. C.I.C. can. 529, §1.
[178]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 11 ; C.I.C. can. 233, §1.
[179]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 74.
[180]   Cf. C.I.C. can. 287 §2 ; Sacrée Congrégation pour le Clergé, Décr. Quidame Episcopi (8 mars 1982), AAS 74 (1982), 642-645.
[181]   Cf. Congrégation pour l’Évangélisation des Peuples, Guide pastoral pour les prêtres diocésains des Églises dépendant de la Congrégation pour l’Évangélisation des Peuples, 9 : l.c., 1604-1607 ; Sacrée Congrégation pour le Clergé, Décr. Quidame Episcopi (8 mars 1982), AAS 74 (1982), 642-645.
[182]   Jean-Paul II, Audience générale (23 juillet 1993), 3 : Enseignements XVI/2, 109-110 ; Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution past. Gaudium et spes, 43 ; Synode des Évêques, Document sur le sacerdoce ministériel Ultimis temporibus (30 novembre 1971), II, I, 2 : l.c., 912-93 ; C.I.C. can. 285 §3 ; 287 §1.
[183]   Catéchisme de l’Église Catholique, 2442 ; C.I.C. can. 227.
[184]   Synode des Évêques, Document sur le sacerdoce ministériel Ultimis temporibus (30 novembre 1971), II, I, 2 : l.c., 913.
[185]  Cf. Jean-Paul II, Lettre ap. Novo millennio ineunte, 31 ; Benoît XVI, Audience générale (13 avril 2011) : “L’ Osservatore Romano”, 14 avril 2011, 8.
[186]  Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 5.
[187]   Jean-Paul II,  Audience générale (26 mai 1993), 3 : Enseignements XVI/1 (1993), 1328-1340.
[188]   Cf. Jean-Paul II, Discours inaugural à la IVème Conférence Générale de l’Épiscopat Latinoaméricain (Saint Domingue, 12-28 octobre 1992), 24 : AAS 85 (1993), 826.
[189]   Ibid., 1.
[190]   Ibid., 25.
[191]   Cf. ibid.
[192]   Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux, Document Jésus Christ porteur d’eau vive. Une réflexion chrétienne sur leNew Age”, §6.2 (3 février 2003) : EV 22, 54-137.
[193]   Ibid.
[194]   Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 14.
[195]   Benoît XVI, Veillée à l’occasion de la conclusion de l’Année sacerdotale (10 juin 2010) : l.c., 397-406.
[196]   Cf. Benoît XVI, Homélie durant la Sainte Messe Chrismale (9 avril 2009) : Enseignements V/1 (2009), 578-583.
[197]   Jean-Paul II, Lettre aux Prêtres pour le Jeudi Saint (13 avril 1987) : AAS 79 (1987) 1285-1295.
[198]   Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 14.
[199]   Cf. C.I.C. can. 26 §2, 1°.
[200]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 5 ; 18 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 23 ; 26 ; 38 ; 46 ; 48 ; C.I.C. can. 246 §1 ; 276, §2, 2°.
[201]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 5 ; 18 ; C.I.C. can. 246 §4 ; 276 §2, 5°; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 26 ; 48.
[202]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18 ; C.I.C. can. 239 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 40 ; 50 ; 81.
[203]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 26 ; 72 ; C.I.C. can. 246 §2 ; 276 §2, 3° ; Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, Réponses Celebratio integra aux question sur l’obligation de la récitation de la Liturgie des Heures (15 novembre 2000) dans Notitiae 37 (2001), 190-194.
[204]   Cf. C.I.C. can. 1174 §1.
[205]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 26 ; 37 ; 47 ; 51 ; 72.
[206]   Cf. C.I.C. can  276 §2, 5°.
[207]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 4 ; 13 ; 18 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 26 ; 47 ; 53 ; 70 ; 72.
[208]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18 ; C.I.C. can. 276 §2, 4° ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 80.
[209]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18 ; C.I.C. can. 246 §3 ; 276, §2, 5° ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 36 ; 38 ; 45 ; 82.
[210]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 26 ; 37-38 ; 47 ; 51 ; 53 ; 72.
[211]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18.
[212]   Cf. Jean-Paul II, Lettre aux prêtres pour le jeudi saint 1979 (8 avril 1979), 1 : lc, 394 Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 80.
[213]   Cf. Possidio, Vita Sancti Aurelii Augustini, 31 ; PL. 32, 63-66.
[214]   Benoît XVI, Homélie durant la Sainte Messe Chrismale (20 mars 2008) : Enseignements  IV/1 (2008), 442-446.
[215]   Cf. Institutio Generalis Liturgiae Horarum, 3-4 ; Catéchisme de l’Église Catholique, 2598-2606.
[216]   Benoît XVI,  Angelus (18 décembre 2005) : Enseignements  I (2005), 1003.
[217]   Ibid.
[218]   Catéchisme de l’Église Catholique, 144.
[219]   Ibid., 2599.
[220]   Pontificale Romanum, De ordinatione Espiscopi, Presbyterorum et Diaconorum, II, 151, l.c., 87-88.
[221]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18 ; Synode des Évêques, Document sur le sacerdoce ministériel Ultimis temporibus (30 novembre 1971), II, I, 3 : l.c., 913-915 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 46-47 ; Audience générale (2 juin 1993), 3 : Enseignements XVI/1, 1389.
[222]   « Numquam enim minus solus sum, quam cum solus esse videor » : Epist. 33 (Maur. 49), 1 : CSEL 82, 229.
[223]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 14 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 23.
[224]   Cf. C.I.C. can. 279 §1.
[225]   Paul VI, Lettre encyclique Sacerdotalis caelibatus, 93.
[226]   Cf. Ibid., 15 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 27.
[227]   Cf. Jean-Paul II, Lettre encyclique Veritatis splendor (6 août 1993), 31 ; 32 ; 106 : AAS 85 (1993), 1158-1159 ; 1159-1160 ; 1216.
[228]   Cf. C.I.C. can. 274 §2.
[229]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 15.
[230]   Ibid.
[231]   Cf. C.I.C. can. 274.
[232]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Lumen gentium, 23.
[233]   Cf. ibid., 27 ; C.I.C. can. 381, §1.
[234]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Christus Dominus, 2 ; Constitution dogmatique Lumen gentium, 22 ; C.I.C. can. 333 §1.
[235]   Cf. sur la Professio fidei, C.I.C. can. 833 et Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Formule à utiliser pour la profession de foi et le serment de fidélité au moment d’assumer une charge au nom de l’Église avec Note doctrinale illustrative de la formule de conclusion de la Professio fidei (29 juin 1998) : AAS 90 (1998), 542-551.
[236]   Cf. Benoît XVI, Homélie durant la Sainte Messe Chrismale (5 avril 2012) : “L’Osservatore Romano”, 6 avril 2012, 7.
[237]   Ibid.
[238]   Cf. Jean-Paul II, Const. apost. Sacrae disciplinae leges (25 juin 1983) : AAS 75 (1983), Pars II, XIII ; Discours aux participants du Symposium international « Ius in vita et in missione Ecclesiae » (23 avril 1993) : “L’Osservatore Romano”, 25 avril 1993, 4.
[239]   Cf. Jean-Paul II, Const. apost. Sacrae disciplinae leges (25 juin 1983) : l.c., Pars II, XIII.
[240]   Cf. C.I.C. can. 392 ; 619.
[241]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Cost. Sacrosanctum Concilium, 7.
[242]   Ibid., 10.
[243]   C.I.C. can. 838.
[244]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Cost. Sacrosanctum Concilium, 22.
[245]   Cf. C.I.C. can. 846, § 1.
[246] Cf. Sacrée Congrégation pour le Clergé, Lettre circulaire Omnes Christifideles (25 janvier 1973), 9 : EV 5, 1207-1208.
[247]   Jean-Paul II, Lettre au Cardinal Vicaire de Rome (8 décembre 1982) : Enseignements V/2 (1982), 847-849.
[248]   Cf. Paul VI, Allocutions au clergé (17 février 1969 ; 17 février 1972 ; 10 février 1978) : AAS 61 (1969), 190 ; 64 (1972), 223 ; 70 (1978), 191 ; Jean-Paul II, Lettre aux Prêtres à l’occasion du Jeudi Saint 1979 (8 avril 1979), 7 : l.c., 403-405 ; Allocutions au clergé (9 novembre 1978 ; 19 avril 1979) : Enseignements I (1978), 116 ; II (1979), 929.
[249]   Benoît XVI, Discours aux participants au Congrès Théologique organisé par la Congrégation pour le Clergé (12 mars 2010): l.c., 241.
[250]   Cf. Conseil Pontifical pour les Textes Législatifs, Explication sur la valeur contraignante de l'art. 66 du Directoire pour le ministère et la vie des prêtres (22 octobre 1994) : “Communicationes” 27 (1995), 192-194.
[251]   C.I.C. can. 284.
[252]   Cf. ibid. can. 24 §2.
[253]   Cf. Paul VI, Motu proprio Ecclesiae Sanctae, I, 25, §2 : AAS 58 (1966), 770 ; Sacrée Congrégation pour les Évêques, Lettre circulaire à tous les représentants pontificaux Per venire incontro (27 janvier 1976) : EV 5, 1162-1163 ; Sacrée Congrégation pour l’Éducation Catholique, Lettre circulaire The document (6 janvier 1980) : “L’Osservatore Romano”, supl. 12 avril 1980.
[254]   Cf. Paul VI, Audience générale (17 septembre 1969) ; Allocutions au clergé (1er mars 1973) : Enseignements VII (1969), 1065 ; XI (1973), 176.
[255]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Dei Verbum, 5 ; Catéchisme de l’Église Catholique, 1-2, 142.
[256]   Cf. ibid., 150-152, 185-187.
[257]   Cf. Jean-Paul II, Audience générale (21 avril 1993), 6 : Enseignements XVI/1 (1993), 936-947.
[258]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Dei Verbum, 25.
[259]   Benoît XVI, Angelus (6 novembre 2005) : Enseignements I/1 (2005), 759-762.
[260]   Cf. C.I.C. can. 757 ; 762 ; 776.
[261]   Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 4.
[262]   Ibid. ; cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 26.
[263]   Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Verbum Domini, 80.
[264]   Cf. Jean-Paul II, Audience générale (12 mai 1993) : Enseignements XVI/1 (1993), 1194-1204.
[265]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Dei Verbum, 10 ; Jean-Paul II, Audience générale (12 mai 1993) l.c., 1194-1204.
[266]   Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 46 .
[267]   Cf. Saint Thomas d’Aquin, Summa theologiae, I, q. 43, a.5.
[268]   Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Verbum Domini, 82 .
[269]   Cf. C.I.C. can. 769.
[270]   Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Verbum Domini, 59.
[271]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Catechesi tradendae (16 octobre 1979), 18 : AAS 71 (1979), 1291-1292.
[272]   Cf. C.I.C.  can. 768.
[273]   Cf. C.I.C.  can. 528 §1 et 776.
[274]   Benoît XVI, Homélie durant la Sainte Messe Chrismale (5 avril 2012) : l.c., 7.
[275]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 4.
[276]   Cf. ibid, 6.
[277]   Cf. C.I.C.  can. 779.
[278]   Cf. Jean-Paul II, Const. ap. Fidei Depositum (11 octobre 1992) : AAS 86 (1992), 113-118.
[279]   Benoît XVI, Lettre ap. sous forme de Motu proprio Porta fidei, 11.
[280]   Ibid.
[281]   Cf. Jean-Paul II, Audience générale (12 mai 1993) 3 : l.c., 1195-1196.
[282]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 5 ; Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 78 ; 84-88.
[283]   Ibid.
[284]   « Sacerdos habet duos actus: unum principalem, supra corpus Christi verum; et alium secundarium, supra corpus Christi mysticum. Secundus autem actus dependet a primo, sed non convertitur » : Saint Thomas d’Aquin, Summa theologiae, Suppl., q. 36, a. 2, ad 1.
[285]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 5 ; 13 ; Saint Justin, Apologie  I, 67 : PG  6 ; 429-432 ; saint Augustin, In Iohannis Evangelium Tractatus, 26, 13-15: CCL 36, 266-268 ; Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 80 ; Congrégation pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, Instruction Redemptionis Sacramentum sur certaines choses à observer et à éviter concernant la très sainte Eucharistie (23 avril 2004), 110 : AAS  96 (2004), 581.   
[286]   Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique, Lumen gentium, 11 ; cf. aussi décr. Presbyterorum Ordinis 18.
[287]  Cf. C.I.C. can. 904.
[288]   Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 80.
[289]   Cf. ibid. 64.
[290]   Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 128 ; Jean-Paul II Lettre encyclique Ecclesia de eucharistia, 49-50 ; Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 80.
[291]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 122-124 ; Congrégation pour le Culte divin et la discipline des Sacrements, Instruction Redemptionis Sacramentum (25 mars 2004), 121-128 : l.c., 583-585.
[292]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 112-114 ; Jean-Paul II, Lettre encyclique Ecclesia de eucharistia, 49 ; Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 42.
[293]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 120.
[294]   Cf. ibid. 30 ; Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 55.
[295]   Cf. C.I.C. can. 899, §3.
[296]   Jean-Paul II, Lettre encyclique Ecclesia de Eucharistia, 52 ; cf. Congrégation pour le Culte divin et la discipline des Sacrements, Instruction Redemptionis Sacramentum (25 mars 2004) : l.c., 549-601.
[297]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 22 ; C.I.C. can 846 §1 ; Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 40.
[298]   Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 38.
[299]   Cf. C.I.C. can. 929 ; Institutio Generalis Missalis Romani (2002), 81; 298; Sacrée Congrégation pour le Culte divin et la discipline des Sacrements, Instruction Liturgicae instaurationes (5 septembre 1970), 8 : AAS 62 (1970), 701 ; Instruction Redemptionis Sacramentum (25 mars 2004) : 121-128. l.c., 583-585.
[300]   Jean-Paul II, Audience générale (9 juin 1993), 6 : Enseignements XVI/1 (1993), 1469-1461 ; cf. Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 48 ; Catéchisme de l’Église Catholique, 1418 ; Jean-Paul II Lettre encyclique Ecclesia de eucharistia, 25 ; Congrégation pour le Culte divin et la discipline des Sacrements, Instruction Redemptionis Sacramentum (25 mars 2004), 134 : l.c., 587 ; Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Sacramentum caritatis, 67-68.
[301]   Jean-Paul II, Audience générale (9 juin 1993), 5 : l.c., 1390-1391 ; Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 99-100.
[302]   Catéchisme de l’Église Catholique, 1366.
[303]   Ibid. 1414 ; cf. C.I.C. can. 901.
[304]   Cf. C.I.C. can. 945, §2.
[305]   Paul VI, Motu proprio Firma in Traditione (13 juin 1974) : AAS 66 (1974), 308.
[306]   Congrégation pour le Clergé, Décret Mos iugiter (22 février 1991), art. 7 : AAS 83 (1991), 446.
[307]   Paul VI, Motu proprio Firma in Traditione : l.c., 308.
[308]   Congrégation pour le Clergé, Décret Mos iugiter (22 février 1991) : l.c., 443-446.
[309]  Cf. C.I.C. can. 945-958.
[310]   Ibid. can 1385.
[311]  Cf. Ibid. can. 948-949 ; 199, 5°.
[312]   Cf. C.I.C. can. 952.
[313]   Ibid. can 955, 4.
[314]   Cf. Ibid. can. 958, §1.
[315]   Cf. Ibid. can. 953.
[316]   Congrégation pour le Clergé, Décret Mos iugiter (22 février 1991), art. 5, § 1 : l.c., 443-446.
[317]   Ibid., art. 2, §§1-2, 443-446.
[318]   Cf. ibid., art. 2, §3, 443-446.
[319]   Cf. C.I.C. can. 951.
[320]   Ibid. can. 534, §1.
[321]   Cf. Conc. OEcum. Trident., sess. VI, De Iustificatione, c. 14 ; sess. XIV, De Poenitentia, c. 1, 2,5-7, can. 10 ; sess. XXIII, De Ordine, c. 1 ; Conc. OEcum. Vat. II, Décret Presbyterorum Ordinis, PO 2 PO 5 ; C.I.C. can. CIC 965.
[322]   Cf. Catéchisme de l’Église Catholique, 1443-1445.
[323]   Cf. C.I.C. can. 966 §1 ; 978 §1 ; 981 ; Jean-Paul II, Discours à la Pénitencerie Apostolique (27 mars 1993) : Enseignements XVI/1 (1993), 761-766.
[324]   Cf. C.I.C. can. 986.
[325]   Cf. Jean-Paul II, Lettre Apostolique sous forme de motu proprio Misericordia Dei (7 avril 2002), 1-2 : l.c., 455.
[326]   « Les Ordinaires des lieux, ainsi que les curés et les recteurs d'églises et de sanctuaires, doivent vérifier périodiquement qu'il existe concrètement les plus grandes facilités possibles pour les confessions des fidèles. En particulier, on recommande la présence visible des confesseurs dans les lieux de culte durant les heures prévues, l'adaptation des horaires à la situation réelle des pénitents, et la disponibilité spéciale pour confesser avant les Messes et aussi pour répondre aux nécessités des fidèles durant la célébration des Messes, si d'autres prêtres sont disponibles » : Jean-Paul II, Lettre Apostolique Misericordia Dei, 2.
[327]   Cf. Congrégation pour le Clergé, Lettre circulaire aux Recteurs des Sanctuaires (15 août 2011) :  “L’Osservatore Romano”, 12 août 2011, 7.
[328]   Benoît XVI, Discours aux participants aucours sur le for interne organisé par la Pénitencerie apostolique (25 mars 2011) : “L’Osservatore Romano”, 26 mars 2011, 7.
[329]   Cf. C.I.C. can. 960 ; Jean-Paul II, Lettre encyclique Redemptor hominis, 20 : AAS 64 (1979), 257-324 ; Lettre Apostolique Misericordia Dei, 3.
[330]   Jean-Paul II, Lettre Apostolique Misericordia Dei, 1.
[331]   La confession et à l’absolution communautaires sont réservés à des cas extraordinaires et aux conditions prévues par les dispositions en vigueur : cf. C.I.C. can. 961-963 ; Paul VI, Allocution (20 mars 1978) : AAS 70 (1978), 328-332 ; Jean-Paul II, Allocution (30 janvier 1981) : AAS 73 (1981), 201-204 ; Exhort. ap. post-synodale Reconciliatio et paenitentia (2 décembre 1984), 33 : AAS 77 (1985), 270 ; Lettre Apostolique Misericordia Dei, 4-5.
[332]   Cf. C.I.C. can. 964 §2. En outre, le minitre du sacrement, peut, pour une juste cause et exclu le cas d’une nécessité, légitimement décider, même si le pénitent demande éventuellement autre chose, que la confession sacramentelle ait lieu dans un confessionnal muni d’une grille fixe : cf. Conseil Pontifical pour les Textes Législatifs, Responsio ad propositum dubium: de loco excipiendi sacramentales confessiones: AAS 90 (1998), 711.
[333]   Cf. C.I.C. can. 978 §1 ; 981.
[334]   Ibid. can. 964 ; cf. Jean-Paul II, Lettre Apostolique Misericordia Dei, 9.
[335]   Benoît XVI, Lettre pour l’indiction d’une année sacerdotale à l’occasion du 150ème anniversaire du  Dies natalis de Jean-Marie Vianney, 16 juin 2009 : l.c., 569-579.
[336]   Cf. C.I.C. can. 276 §2, 5° ; Conc. OEcum. Vat. II, Décret Presbiterorum Ordinis, 18.
[337]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Reconciliatio et paenitentia, 31 ; Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 26.
[338]   Cf. Benoît XVI, Message au Card. James Francis Stafford, Grand Penitencier et aux participants à la XX édition du cours de formation sur le for internepromu par la Pénitencerie apostolique (12 mars 2009) : l.c., 374-377 ; Congrégation pour le Clergé, Le prêtre ministre de la Miséricorde divine. Subside pour les confesseurs et les directeurs spirituels  (9 mars 2011), 64-134 : l.c., 28-53.
[339]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Reconciliatio et paenitentia, 32.
[340]   Congrégation pour le Clergé, Le prêtre ministre de la Miséricorde divine. Subside pour les confesseurs et les directeurs spirituels  (9 mars 2011), 98 : l.c., 39 ; cf. ibid. 110-111 : l.c., 42-43.
[341]   Conc. OEcum. Vat. II, Constituion Sacrosanctum Concilium, 85.
[342]   Ibid. 84.
[343]   Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Verbum Domini, 62 ; cf. Institutio Generalis Liturgiae Horarum, 29 ; C.I.C. can. 276 §3 ; 1174 §1.
[344]   Catéchisme de l’Église Catholique, 1176, citant le Conc. OEcum. Vat. II, Constitution Sacrosanctum Concilium, 90.
[345]   Benoît XVI, Rencontre avec les prêtres du diocèse d’Albano, Castel Gandolfo (31 août 2006) : Enseignements II/2 (2006), 163-179.
[346]   Jean-Paul II, Lettre apostolique Spiritus et Sponsa, 13 : AAS 96 (2004), 425.
[347]   Cf. Benoît XVI, Exhort. ap. post-synodale Verbum Domini, 66.
[348]   Institutio Generalis Liturgiae Horarum, 213.
[349]   Cf. Catéchisme de l’Église Catholique, 2634-2636.
[350]   Jean-Paul II, Discorso ai partecipanti al symposio internationale in occasione del XXX anniversario della promulgazione del decreto conciliare Presbyterorum Ordinis, 27 ottobre 1995, n. 5.
[351]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 22-23 ; cf. Lettre apostolique Mulieris dignitatem (15 août 1988), 26 : AAS 80 (1988), 1715-1716.
[352]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décret Presbiterorum Ordinis, 6 ; C.I.C. can. 529 §1.
[353]   Saint Jean Chrysostome, De sacerdotio, III, 6 : PG, 48, 643-644 : « La naissance spirituelle des âmes est le privilège des prêtres : ils les font naître à la vie de la grâce par le baptême ; grâce à eux nous nous revêtons du Christ, nous sommes ensevelis avec le Fils de Dieu, et nous devenons membres de cette bienheureuse tête. (cf. Rm 6,1 Ga 3,27). Nous devons donc non seulement les respecter plus que les princes et que les rois, mais aussi les vénérer plus que nos parents. Ceux-ci en effet nous ont engendrés par le sang et la volonté de la chair (cf. Jn 1,13) ; ceux-là en revanche nous font naître comme fils de Dieu ; ils sont les instruments de notre régénération bienheureuse, de notre liberté et de notre adoption dans l’ordre de la grâce ».
[354]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 29 ; cf. Conc. oecum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 16 ; Paul VI, Encycl. Sacerdotalis coelibatus, 14 ; C.I.C. can. 277 §1.
[355]   Benoît XVI, Veillée de prière à l’occasion de la conclusion de l’année sacerdotale (10 juin 2010) : l.c.,  397-406.
[356]   Cf. Jean-Paul II, Encycl. Veritatis splendor, 22.
[357]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 29.
[358]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Optatam Totius 10 ; C.I.C. can. 247 §1 ; Sacrée Congrégation pour l’Education catholique, Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (19 mars 1985), 48 Orientations éducatives pour la formation au célibat sacerdotal (11 avril 1974), 16 : EV 5 (1974-1976), 200-201.
[359]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 16 ; Jean-Paul II, Lettre aux prêtres à l’occasion du Jeudi-Saint 1979 Novo incipiente (8 avril 1979), 8 : l.c., 405-409 ; Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis 29 ; C.I.C. can. 277 §1.
[360]   Paul VI, Lettre encyclique Sacerdotalis caelibatus, 55.
[361]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 16 ; Paul VI, Lettre encyclique Sacerdotalis caelibatus, 14.
[362]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 16 ; C.I.C. can. 1036 ; 1037.
[363]   Cf. Pontificale Romanum – De ordinatione Episcopi, Presbyterorum et Diaconorum, chap. III, 228, l.c., 134 ; Jean-Paul II, Lettre aux prêtres à l’occasion du Jeudi-Saint 1979, (8 avril 1979), 9 : l.c., 409-411.
[364]   Cf. Synode des Évêques, Document Ultimus temporibus (30 novembre 1971), II, I, 4c : l.c., 916-917.
[365]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 16
[366]   Cf. Ibid.
[367]   Jean-Paul II, Lettre aux prêtres à l’occasion du Jeudi-Saint 1979, (8 avril 1979), 8 : Enseignements II/1 (1979), 841-862.
[368]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 29.
[369]   Pour l’interprétation de ces textes, cf. Conc. d’Elvire, (a. 302-305) can. 27 ; 33 : Bruns Herm., Canones Apostolorum et Conciliorum saec.IV-VII, II, 5-6 ; Conc. de Néocésarée (a. 314), can. 1 : Pont. Commissio ad redingendum CIC Orientalis, IX, I/2, 74-82 ; Conc. OEcum. Nicée I (a. 325), can. 3 : Conc. OEcum. Decr., 6 ; Conc. de Carthage (a. 390) : Concilia Africae a. 345-525, CCL 149, 13. 133 ss. ; Synode Romain (a. 386) : Conc. OEcum. Dec., 58-63 ; Conc. in Trullo (a. 691), can. 3, 6, 12, 13, 26, 30, 48 : Pont. Commissio ad redigendum CIC Orientalis, IX, I/1, 125-186 ; Sirice, décrétale Directa (a. 386) : PL 13, 1131-1147 ; Innocent Ier, lett. Dominus inter (a. 405) : Bruns cit. 274-277. S. Léon le Grand, lettre a Rusticus (a. 456) : PL 54, 1191 ; Eusèbe de Césarée, Demonstratio Evangelica, 1, 9 : PG 22, 82 (78-83) ; Épiphane de Salamine, Panarion, PG 41, 868, 1024 ; Expositio Fidei, PG 42, 823 et suivants.
[370]   Cf. Sacrée Congrégation pour l’Éducation Catholique, Orientations éducatives pour la formation au célibat sacerdotal (11 avril 1974), 16 : l.c., 200-201.
[371]   Benoît XVI, Veillée de prière à l’occasion de la conclusion de l’année sacerdotale (10 juin 2010) : l.c.,  397-406.
[372]   Benoît XVI, Discours aux participants de la plénière de la Congégation pour le Clergé (16 mars 2009) : l.c., 393.
[373]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 29 ; 50 ; Congrégation pour l’Éducation Catholique, Instruction In continuità  sur les critères de discernement de la vocation des personnes ayant des tendances homosexuelles en vue de leur admission au séminaire et aux ordres sacrés (4 novembre 2005) : AAS 97 (2005), 1007-1013 ; Orientations éducatives pour la formation au célibat sacerdotal (11 avril 1974) :  EV 5 (1974-1976), 188-256.
[374]   S. Jean Chrysostome, De Sacerdotio, VI, 2 : PG 48, 679 : « L’âme du prêtre doit être plus pure que les rayons du soleil, pour que le Saint-Esprit ne l’abandonne pas et pour qu’il puisse dire : ce n’est plus moi qui vit, c’est le Christ qui vit en moi (Ga 2,20). Si les anachorètes dans le désert, loin de la ville, des lieux de rencontres et de leur agitation, jouissant pleinement du port et du beau temps, n’osent pas mettre leur confiance dans la sécurité de leur vie, mais prennent de nombreuses précautions, se protégeant de toute part et prenant soins de tout faire et de tout dire avec diligence, pour pouvoir se présenter à Dieu dans la confiance d’une pureté intacte, autant qu’il est possible aux facultés humaines : quelle force et quelle violence seront donc nécessaires au prêtre, pour soustraire son âme à toute tache et en conserver intacte la beauté spirituelle ? Il a certainement besoin d’une pureté plus grande que le moine. Et cependant, lui qui en a plus besoin, est exposé à des occasions inévitables plus fréquentes, qui pourraient le contaminer si, avec une sobriété et une vigilance soutenues, il ne rendait pas son âme inaccessible à toutes ces embûches ».
[375]   Cf. C.I.C. can. 277 §2
[376]   Cf. ibid. can. 277 §3.
[377]   Cf. Jean-Paul II, Litterae apostolicae Motu Proprio datae Sacramentorum sanctitatis tutela quibus Normae de gravioribus delictis Congregationi pro Doctrina Fidei reservatis promulgantur (30 aprile 2001): AAS 93 (2001), 737-739 (modifiée par Benoît XVI LE 21 mai 2010: AAS 102 [2010] 419-430).
[378]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 16.
[379]   Cf. Paul VI, Lettre Encyclique. Sacerdotalis coelibatus, 78-81 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 29.
[380]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 17 ; 20-21.
[381]   Cf. Benoît XVI, Discours à la Curie Romaine (22 décembre 2006) : AAS, 98 (2006).
[382]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 17 ; Jean-Paul II, Audience générale (21 juillet 1993), 3 : Enseignements XVI/2 (1993), 89-90.
[383]   Cf. C.I.C. can. 286 ; 1392.
[384]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 17.
[385]   Cf. ibid. ;  C.I.C. can. 282 ; 222 §2 ; 529 §1.
[386]   Cf. C.I.C. can. 282 §1.
[387]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 17.
[388]   Cf. ibid., 17.
[389]   Cf. Jean-Paul II, Audience générale (30 juin 1993) : Enseignements XVI/1 (1993), 1689-1699.
[390]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 18.
[391]   Jean-Paul II, Lettre encyclique Ecclesia de Eucharistia (17 avril 2003) : l.c., 53 ; 57.
[392]   Benoît XVI, Audience générale (12 août 2009) : Enseignements V/2 (2009), 94.
[393]   Benoît XVI, Discours aux participants au Congrès Théologique organisé par la Congrégation pour le Clergé (12 mars 2010) : l.c., 323-326.
[394]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 16.
[395]   Cf. ibid., 70.
[396]   Cf. ibid.
[397]   Cf. ibid. 79.
[398]   Cf. C.I.C. can. 279.
[399]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 76.
[400]   Cf. Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Instruction Donum veritatis sur la vocation ecclésiale du théologien (24 mai 1990) 21-41 : AAS 82 (1990), 1559-1569 ; Commission Théologique Internationale, Theses Rationes magisterii cum theologia sur la relation mutuelle entre magistère ecclésiastique et théologie (6 juin 1976), thèse n. 8: “Gregorianum” 57 (1976), 549-556.
[401]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 43 ; cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Optatam totius,  11.
[402]   Benoît XVI, Message video aux participants de la retraite sacerdotale internationale (27 septembre - 3 octobre 2009) : Enseignements V/2 (2009), 300-303.
[403]   Benoît XVI, Lettre aux séminaristes (18 octobre 2010), 6 : l.c., 797-798.
[404]   Cf. Conc. oecum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 3.
[405]   Ibid. 14.
[406]   Cf. Congrégation pour l’Éducation Catholique, Orientations pour l’utilisation de la psychologie pour l’admission et la formation des candidats au sacerdoce (29 juin 2008), 5 : “L’Osservatore Romano”, 31 octobre 2008, 4s.
[407]   Cf. Conc. oecum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 19 ; Décr. Optatam totius, 22 ; C.I.C. can. 279 §2 ; Sacrée Congrégation pour l’Éducation Catholique, Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (19 mars 1985), 101.
[408]   C.I.C. can. 279, §3; Congrégation pour l’Éducation Catho-lique, Décret de réforme des études ecclésiastiques de philosophie (28 janvier 2011), 8ss. : AAS 103 (2011), 148ss.
[409]   Cf. Jean-Paul II, Lettre encyclique Centesimus annus (1er mai 1991), 57 : AAS 83 (1991), 862-863.
[410]   Cf. Conseil Pontifical pour la Famille, Document “Vade-mecum” pour les confesseurs sur certains sujets de morale liés à la vie conjugale (12 février 1997) : “L’Osservatore Romano”, 2 mars 1997, encart.
[411]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 79.
[412]   Cf. Sacrée Congrégation pour l’Éducation Catholique, Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (19 mars 1985), 76 ss.
[413]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 79.
[414]   Cf. ibid.
[415]   Cf. ibid.
[416]   Cf. ibid. ; Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 19 ; Décr. Optatam totius, 22.
[417]   Cf. Paul VI, Lettre apostolique Ecclesiae Sanctae (6 août 1966), I, 7: AAS 58 (1966), 761; Sacrée Congrégation pour le Clergé, Lettre circulaire aux Présidents des Conférences Épiscopales Inter ea (4 novembre 1969), 16: l.c., 130-131; Sacrée Congrégation pour l'éducation catholique, Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (19 mars 1985), 63; 101; C.I.C. can. 1032 §2.
[418]   Cf. Congrégation pour l'Éducation Catholique, Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (19 mars 1985), 63.
[419]   Benoît XVI, Veillée de prière à l’occasion de la conclusion de l’année sacerdotale (10 juin 2010) : l.c.,  397-40.
[420]   C.I.C. can. 276 §2, 4° ; cf. can. 533 §2 ; 550 §3.
[421]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 8.
[422]   Cf. Congrégation pour l'Éducation Catholique, Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (19 mars 1985), 101.
[423]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 79.
[424]   Cf. ibid., 70.
[425]   Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 8.
[426]   Cf. ibid.
[427]   C.I.C. can. 278 § 2.
[428]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Presbyterorum Ordinis, 8 ; C.I.C. can. 276 §2 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 81.
[429]   Cf. Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Christus Dominus, 16 ; Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores gregis, 47.
[430]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 79.
[431]   Cf. ibid.
[432]   Cf.  Conc. OEcum. Vat. II, Décr. Optatam totius, 22 ; Sacrée Congrégation pour l'éducation catholique, Ratio Fundamentalis Institutionis Sacerdotalis (19 mars 1985), 101.
[433]   Benoît XVI, Homélie. Ouverture de l’Année sacerdotale avec la célébration des secondes Vêpres (19 juin 2009) : Enseignements V/1 (2009), 1036.
[434]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 79.
[435]   Cf. ibid., 76.
[436]   Cf. C.I.C. can. 970 ; 972.
[437]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 79.
[438]   Ibid.
[439]   Ibid.
[440]   Ibid.
[441]   Ibid., 41.
[442]   Ibid., 77.
[443]   Cf. ibid., 74.
[444]   Ibid.
[445]   Cf. Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 82.
[446]   Cf. ibid., 23.
[447]   Ibid., 82.
[448]   Conc. OEcum. Vat. II, Constitution dogmatique Lumen gentium, 65.
[449]   Jean-Paul II, Exhort. ap. post-synodale Pastores dabo vobis, 82.




2013 Directoire prêtres 101