Bernard, de Consideratione
Les 13 Traités de St Bernard

  • I. - Les cinq livres de la considération de saint Bernard, premier abbé de Clairvaux au pape Eugène III.
    VIVÈS, PARIS 1866 - Tome 2, pp. 127 à 235.
  • Abbaye Saint Benoît, de Port-Valais CH 1897 Le Bouveret (VS), http://membres.lycos.fr/abbayestbenoit/

  • Index

    9999 LES CINQ LIVRES DE LA CONSIDÉRATION DE SAINT BERNARD, PREMIER ABBÉ DE CLAIRVAUX AU PAPE EUGÈNE III.
    1000
    AVIS AU LECTEUR DE JEAN MERLON HORSTIUS.

    PRÉFACE DE MABILLON

    AVIS AU LECTEUR DE JEAN MERLON HORSTIUS.


    10002
    LES CINQ LIVRES DE LA CONSIDÉRATION

    DE SAINT BERNARD, PREMIER ABBÉ DE CLAIRVAUX

    AU PAPE EUGÈNE III.


    PROLOGUE.
    LIVRE I.

    LIVRE PREMIER.
    1101 CHAPITRE I. Saint Bernard s'afflige avec le souverain Pontife de le voir accablé de tarit d'occupations diverses.
    1102 CHAPITRE II. Comment l'habitude introduit des usages répréhensibles et conduit à l'endurcissement du coeur.
    1104 CHAPITRE III. Il ne sied pas aux princes de l'Église de n'être occupés qu'à entendre des plaidoiries et à juger des procès.
    1105 CHAPITRE IV. Il y a deux servitudes: l'une convient et l'autre ne convient pas au serviteur des serviteurs de Dieu.
    1106 CHAPITRE V. On ne doit point s'occuper des autres au point de se négliger soi-même.
    1107 CHAPITRE VI. Le pouvoir judiciaire appartient plutôt aux princes de la terre qu'à ceux de l'Église.
    1108 CHAPITRE VII. Il faut avant tout vaquer aux devoirs de la piété et à la considération des choses éternelles.
    1109 CHAPITRE VIII. De la piété et de la contemplation naissent l'union et l'harmonie des quatre vertus principales.
    1112 CHAPITRE IX. Il faut s'éloigner peu à peu des exemples des derniers papes pour se rapprocher de ceux des anciens.
    1113 CHAPITRE X. Saint Bernard blâme sévèrement les abus dont les avocats, les procureurs et les plaideurs se rendent coupables, et il s'élève avec force contre leurs fourberies.
    1114 CHAPITRE XI. On doit sévir avec vigueur contre les avocats et les procureurs qui cherchent à s'enrichir par l'injustice.
    NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON. LIVRE I.

    LIVRE II.

    1201 CHAPITRE I. Saint Bernard repousse les attaques dont il se voit l'objet par suite de la malheureuse issue de la croisade.
    1205 CHAPITRE II. Il ne faut pas confondre la considération avec la contemplation.
    1206 CHAPITRE III. La considération se divise en quatre parties.
    1207 CHAPITRE IV. La connaissance de soi-même exige de l'Homme une triple considération. Premier objet de la considération.
    1208 CHAPITRE V. Le second objet de la considération est de voir attentivement qui nous sommes et d'où nous venons.
    1209 CHAPITRE VI. A quoi doivent s'appliquer les princes de l'Église.
    1214 CHAPITRE VII. Revenant sur la question qu'il s'est posée d'abord, saint Bernard examine plus en détail ce qu'est un souverain Pontife.
    1215 CHAPITRE VIII. Excellence de la dignité et de l'autorité pontificales.
    1217 CHAPITRE IX. Il faut considérer ce que nous sommes par rapport à notre propre nature.
    1219 CHAPITRE X. Le troisième objet de la considération est d'examiner quels nous sommes.
    1220 CHAPITRE XI. Saint Bernard recommande tout particulièrement au souverain Pontife de s'examiner sérieusement lui-même.
    1221 CHAPITRE XII. Il ne faut ni s'endormir dans la prospérité, ni se décourager dans l'infortune.
    1222 CHAPITRE XIII. Le souverain Pontife doit se garder de l'oisiveté, de la futilité et des entretiens inutiles.
    1223 CHAPITRE XIV. Il faut éviter avec soin dans les jugements de faire acception de personnes.
    1224 NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON. LIVRE II.

    LIVRE III.

    1301 CHAPITRE I. Le rôle du souverain Pontife est moins de soumettre tous les hommes à son empire que de les faire entrer tous, s'il est possible, dans le Sein de l'Église.
    1306 CHAPITRE II. Mode qu'il convient d'adopter dans les appels au saint Siège.
    1313 CHAPITRE III. Ce n'est ni pour dominer ni pour s'engraisser eux-mêmes que les prélats de l'Eglise sont placés à la tête des fidèles, mais pour procurer le bien des âmes.
    CHAPITRE IV. Il ne faut pas sans raison troubler et confondre les rangs et les degrés de la hiérarchie ecclésiastique
    1319 CHAPITRE V. C'est un devoir pour le souverain Pontife de faire observer avec soin dans l'Église entière les décrets du saint Siège et les règlements de ses prédécesseurs.
    1321 NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON. LIVRE III.

    1401
    LIVRE IV.

    CHAPITRE I.
    1402 CHAPITRE II. Moeurs du clergé et du peuple romain, vigilance et sollicitude des anciens pasteurs.
    1406 CHAPITRE III. De la réforme à faire dans le luxe des vêtements et du zèle nécessaire au souverain Pontife.
    1409 CHAPITRE IV. Quels hommes le souverain Pontife doit choisit pour être auprès de lui et le seconder dans son ministre. Vertus requises en un prélat.
    1413 CHAPITRE V. Exemples à l'appui de la nécessité de ne point accepter de présents: blâme sévère infligé à l'arrogance des ministres du Pape.
    1417 CHAPITRE VI. Le souverain Pontife a mieux à faire que de s'occuper du soin de sa maison; il doit laisser ce détail à un économe.
    1423 CHAPITRE VII. Epilogue ou resumé des qualités requises en un souverain Pontife.

    1424 NOTES LIVRE IV.

    LIVRE V.

    1501 CHAPITRE I. De la considération de ce qui est au-dessus de vous, c'est-à-dire de Dieu et des choses divines: l'âme s'y élève quelquefois par la contemplation des choses créées.
    1503 CHAPITRE II. La considération a différents degrés.
    1505 CHAPITRE III. Nous avons trois moyens de connaître les êtres placés au-dessus de nous, c'est-à-dire Dieu et les anges; ce sont l'opinion, la foi et l'intelligence.
    1507 CHAPITRE IV. De quelle manière nous devons considérer les anges.
    1511 CHAPITRE V. Les grâces et les dons que possèdent les anges leur viennent de Dieu.
    1513 CHAPITRE VI. La notion de principe et d'essence ne convient qu'à Dieu.
    1515 CHAPITRE VII. De la simplicité de Dieu et de la trinité des personnes divines.
    1518 CHAPITRE VIII. La pluralité des personnes en Dieu provient de ses propriétés, mais sa substance n'en est pas moins une et simple.
    1520 CHAPITRE IX. De même qu'en Dieu la nature est simple en trois personnes, ainsi en Jésus-Christ la personne est une en plusieurs natures.
    1522 CHAPITRE X. Application à la personne de Jésus-Christ de la parabole des trois mesures de farine de saint Matthieu.
    1524 CHAPITRE XI. Continuation de la considération de Dieu.
    1525 CHAPITRE XII. Dieu récompense les bonnes oeuvres avec bonté et punit les mauvaises avec la plus grande justice.
    1527 CHAPITRE XIII. Saint Bernard disserte avec autant de profondeur que d'élégance sur la longueur, la largeur, la profondeur et la sublimité de Dieu,
    1530 CHAPITRE XIV. Comment nous pouvons selon la recommandation de l'Apôtre arriver à saisir les quatre attributs dont il parle.
    1533 NOTES DE HORSTIUS ET DE MABILLON.