Pie XII 1952


RADIOMESSAGE AUX FIDÈLES DE MALABAR RÉUNIS POUR FÊTER SAINT THOMAS, APÔTRE ET SAINT FRANÇOIS-XAVIER

(31 décembre 1952) [48]


Les fêtes en l'honneur du IVe centenaire de la mort de saint François Xavier, inaugurées à Goa[49], trouvèrent leur terme, dans des cérémonies qui eurent lieu à Ernakulam dans le Malabar, et présidées par Son Emi-nence le Cardinal Gilroy, archevêque de Sydney, nommé pour la circonstance Légat Pontifical.

A saint François-Xavier on joignit l'apôtre saint Thomas, premier prédicateur de la Bonne Nouvelle sur la côte du Malabar.

Le coeur rempli de joie et d'un profond intérêt paternel, Nous vous envoyons Notre salut, chers fils et filles, qui vous trouvez réunis à Ernakulam pour célébrer les centenaires du saint apôtre Thomas et de saint François-Xavier, héros qui apportèrent tous deux à l'Inde l'heureux évangile de notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.

Le Malabar et le Sud de l'Inde sont représentés par une foule imposante aussi bien que les autres parties de votre pays. Rassemblés autour de Notre Légat et de vos évêques Nos Vénérables Frères, en cette heure solennelle, vous élevez vos coeurs et vos mains vers le Père des miséricordes et le Dieu de toute consolation [50] afin de Lui rendre grâces pour le don inestimable de la foi que vous avez reçu par l'intermédiaire de ces missionnaires envoyés de Dieu.

Ce n'est pas sans raison que vous êtes fiers du fait que le Seigneur vous a assigné cet Apôtre qui devait mettre son doigt dans les blessures des mains sacrées et sa propre main dans le côté de Jésus, de telle sorte qu'il pût vous apporter la vérité divine au sujet de Dieu et de la Rédemption et avec elle tout le trésor de Son amour sans limite et de Sa grâce.

Mille neuf cents ans se sont écoulés depuis que l'Apôtre est venu en Inde et, par la parole et l'action et par le suprême sacrifice personnel, a rendu témoignage au Christ dans votre pays. La force de Dieu agissant en lui était puissante. Durant les siècles où l'Inde fut coupée de l'Ouest et en dépit des épreuves de nombreuses vicissitudes, les communautés chrétiennes formées par l'Apôtre conservèrent le legs qu'il leur laissa, et aussitôt que la traversée par mer, — à la fin du XVe siècle, — offrit un lien avec leurs frères Chrétiens de l'Ouest, l'union avec eux fut spontanée.

Ce lignage apostolique, chers fils et filles, est le fier privilège de beaucoup d'entre vous qui se font gloire du nom de Chrétiens de Saint Thomas, et Nous sommes heureux en cette occasion de le reconnaître et d'en porter témoignage. Et Notre espoir est que leur vigoureuse activité, féconde en tant de bonnes oeuvres, et leur esprit apostolique, auquel l'Inde Catholique doit tant pour un si grand nombre de ministres du Royaume du Christ et de vierges consacrées, puissent continuer à vous caractériser et hâter le développement de la vie religieuse.

Ce mois marque aussi le 400e anniversaire du jour où François-Xavier termina sa vie et son apostolat, seul sur l'île de Sancian. C'était au moment même où il se préparait à gagner la cour impériale de Chine, au coeur du monde de l'Est-Asiatique. Il n'était âgé que de 46 ans et son oeuvre en Asie n'avait duré que dix ans ; mais elle couvrait la vaste région de la Côte Ouest de l'Inde, à travers l'Indonésie, jusqu'au Japon ; et c'était dans cet immense domaine que François avait montré sa véritable grandeur. Il était grand dans la vaste envergure de ses plans de conquête spirituelle ; il était grand dans son activité jour après jour ; si grand que vous l'appelez, à juste titre, votre second Apôtre, et la plus haute autorité de l'Eglise l'a proclamé d'abord patron de tout l'Est et ensuite patron de toutes les Missions, un saint, un travailleur prodigieux, vénéré non seulement par ses frères catholiques, mais aussi par les Hindous, les Musulmans et les Bouddhistes.

Votre bonne fortune est d'avoir eu François-Xavier pour semer le grain de l'Evangile et encourager son développement au



cours des premières années, précisément dans la partie sud de votre pays. De cette plantation, arrosée et enrichie par les prières et les sacrifices a jailli l'oeuvre des Missions, c'est-à-dire le développement de l'Eglise Catholique dans l'Inde durant les 400 dernières années.

Nous ne savons pas si les Catholiques de l'Inde commémorèrent jamais leurs deux Apôtres avec une telle splendeur et, ce qui est plus important, avec des coeurs aussi bien préparés pour le message de Dieu et de Jésus-Christ, que vous l'avez fait durant ces jours. Mais jamais, Nous croyons pouvoir le dire, pareille célébration ne prit place à un moment ayant de telles conséquences pour vous et votre pays.

Ces récentes années ont vu l'Inde entrer dans une nouvelle ère de son histoire. En posant les fondations du nouvel Etat naissant, elle doit compter sur la coopération de tous les éléments sains et compétents parmi son peuple, et elle a droit à cette coopération. Les forces du bien et du mal sont en train de lutter en un âpre conflit pour l'âme de l'Asie, et vous savez ce qui dépend de l'issue de cette lutte. Vous réalisez aussi le rôle important, dominant et sans compromission qui doit être joué dans ce conflit et dans la construction supérieure de l'Etat par la Religion, par la vraie Foi.

En un pareil moment, Nous faisons appel à vous : tout d'abord pour serrer les rangs et pour être unis ! Il peut y avoir parmi vous des différences de rites et autres pratiques extérieures et manières de vivre ; mais vous professez tous la même foi, vous êtes tous frères et soeurs en Jésus-Christ, tous enfants de la même mère, Son Eglise. Que vous soyez riches ou pauvres, de haute ou modeste condition, vous êtes tous également membres de la grande famille catholique et par la grâce habitant dans votre âme vous êtes déjà des citoyens du ciel[51]. C'est dans cette union et cette concorde qu'est votre force.

Si vous devez prêter votre assistance partout où elle est nécessaire, cette obligation vaut spécialement là où il s'agit de ceux « qui ne font qu'une famille avec nous dans la foi » 6, et elle vaut surtout, lorsque l'Eglise elle-même fait appel à votre aide pour ces importantes entreprises sans lesquelles elle ne peut accomplir sa mission qui est d'ouvrir la voie à la grâce de la vraie foi et à la connaissance et à l'amour de Jésus-Christ. En vous rappelant cela Nous sommes heureux en même temps de louer le zèle avec lequel vous avez bien rempli jusqu'ici cette obligation.

Qu'il y ait une sainte rivalité entre vous dans une manifestation réciproque de respect et de vénération6 et en donnant à vos évêques l'obéissance confiante due à ceux que le Saint-Esprit a désignés pour veiller sur vos âmes, en sachant qu'ils auront à en rendre compte 1.

Aujourd'hui, alors que les forces du mal combattent en rangs serrés et que la nécessité de la concorde parmi ceux qui sont pour Dieu est plus impérieuse, Nous prenons la liberté de faire appel même à nos frères séparés : Que la division cesse ; elle vous est ouverte, la maison que le Seigneur, dans des paroles sans équivoque, a construite sur la roche de Pierre et de ses successeurs 8.

Puisse l'ardent appel, la prière sacerdotale de Jésus-Christ trouver auprès de vous tous la réponse de tout votre coeur : Père Saint, gardez en votre nom ceux que Vous m'avez donnés, afin qu'ils soient un comme nous '.

En second lieu, il est grandement nécessaire pour Nous de vous rappeler que l'Eglise Catholique ne demande à personne d'abandonner les traditions et usages locaux, qu'elle n'oblige personne à adopter des manières de vivre étrangères. L'Eglise appartient à l'Est aussi bien qu'à l'Ouest. Elle n'est liée à aucune culture particulière, elle est chez elle avec tous ceux qui respectent les commandements de Dieu. Ce qui est en harmonie avec la nature donnée par Dieu, ce qui est bon et simplement humain, l'Eglise le permet, l'encourage, l'ennoblit et le sanctifie. Ceci étant bien éclairci, il vous appartient, chers fils et filles, d'être conscients de votre devoir envers votre pays et votre peuple.

Soyez une armée de gens qui prient. Assiégez le ciel de vos supplications, appuyées par votre sacrifice personnel, jusqu'à ce que Dieu répande sa miséricorde et sa grâce sur votre cher pays.

Rendez témoignage à Jésus-Christ. Démontrez que tout ce qui peut être juste et bon dans d'autres religions trouve sa signi-

« Rom. XII, 10.

7 Hebr. XIII, 17.

s Matth. XVI, 16-20.

8 Jean, 17, 11.

fication plus profonde et son achèvement parfait dans le Christ, tandis que la foi catholique révèle une connaissance de la vérité divine et une puissance de salut, de sanctification et d'union de l'homme avec Dieu, qui la rendent infiniment supérieure.

Soutenez la parole de vérité par votre exemple. Vivez en sorte que votre conduite soit un puissant argument attirant les hommes à la vraie foi en Jésus-Christ. C'est là le sublime apostolat auquel vous êtes appelés.

Ainsi vos rangs formeront une puissante phalange contre les éléments destructeurs de l'athéisme. Contre eux vous êtes en mesure d'offrir à votre peuple et à votre gouvernement l'enseignement social de l'Eglise. Il est fondé sur la justice sociale et le devoir de chacun envers la communauté et de la communauté envers chacun ; son but est la paix dans l'ordre social, l'accord des intérêts opposés, de manière que le plus humble dans une nation puisse avoir au moins ce qui est suffisant ; sa force est dans un respect sans compromission pour la dignité et les droits naturels de tout être humain.

Le peuple de l'Inde doit se réjouir de l'esprit religieux enraciné dans son âme. Grâce à la puissante intercession de Marie, la Vierge Bénie, et de vos frères dans la foi, l'Apôtre Thomas et Saint François-Xavier, et grâce à votre courageuse profession personnelle de la foi, en parole et en action, puisse votre peuple dans sa recherche de Dieu arriver à comprendre la signification de la prière sacerdotale de Notre-Seigneur : « La vie éternelle est de Vous connaître. Vous, le seul vrai Dieu, et Jésus-Christ que vous avez envoyé » 10.

En gage de vie éternelle et des plus riches grâces du ciel, avec toute l'affection de Notre coeur, Nous donnons à Notre très digne Légat, à vos évêques et prêtres, à tous ceux qui travaillent avec vous au salut des âmes, à vos oeuvres apostoliques, à vos familles, à votre jeunesse et à toute la nation la Bénédiction apostolique.

ANNEXE : à situer après le ? 82
82 bis



LETTRE DE LA S. CONGRÉGATION DES AFFAIRES ECCLÉSIASTIQUES EXTRAORDINAIRES CONCERNANT LA PERFECTION DU CLERGÉ SÉCULIER

(13 juillet 1952) [52]

Dans une lettre au clergé de son diocèse, en date du 3 septembre 1952, S. Exc. Mgr Charue, évêque de Namur, lui communiquait en ces termes la présente Note : « Tout ce qui touche à la vocation sacerdotale s'impose à la vigilance des évêques. Aussi considérons-nous comme notre devoir pastoral d'inviter tout le clergé du diocèse à lire attentivement le document pontifical que nous publions ici, et à y conformer strictement l'enseignement. Par une lettre du 13 juillet 1952, la Sacrée Congrégation des Affaires Ecclésiastiques Extraordinaires nous a transmis, par l'intermédiaire de la Nonciature Apostolique de Bruxelles, une Note détaillée de Sa Sainteté, en réponse à des demandes d'éclaircissements qui avaient été faites, de divers côtés, au Saint-Siège ».

Voici comment le document s'exprime, précisant l'allocution « Annus Sacer » de Pie XII, prononcée le 8 décembre 1950 [53] :

I. — Lorsqu'on dit qu'un prêtre qui veut tendre à la perfection doit se faire religieux ou, tout au moins, devenir membre d'un Institut séculier ; et si, à un jeune homme qui hésite entre le sacerdoce séculier et l'entrée en religion, on répond que c'est une



»» Jn 17,3.



question de générosité ; lorsqu'on assure que celui qui se décide pour le clergé séculier prouve qu'il n'est pas assez généreux pour se donner entièrement au service de Dieu ; si, à un jeune homme qui hésite de la sorte, on pense ne pas pouvoir conseiller d'entrer au séminaire plutôt qu'en religion ; si certains vont jusqu'à dire que l'Eglise « tolère » le clergé séculier comme un pis-aller, mais que l'idéal serait que tous les prêtres soient religieux ; — c'est là une fausse intelligence et une application erronée de l'Allocution du Saint-Père du 8 décembre 1950. Les évêques font usage de leur droit, s'ils s'opposent à une propagande de recrutement de sociétés religieuses qui ait des fondements théoriques inexacts et susceptibles d'induire en erreur, qui dans la pratique soit pour le moins peu loyale, et s'ils lui tracent, par décision administrative, de justes et fermes limites.

IL — La susdite Allocution du Saint-Père avait avant tout pour but de clarifier et mettre au point trois questions :

a) Quelle place occupe le clergé régulier (clerus religiosus) par rapport au clergé séculier clerus saecularis) dans la constitution donnée par le Christ à son Eglise ? La réponse était : . . . ordine a Christo statuto oh oculos hahito, neutra peculiaris gemini cleri forma divini juris praerogativam tenet, cum idem jus neque alteri alteram praeponat neque alterutram emoveat.

b) Quelle est la relation du « clerc » et du « religieux » à l'égard de l'état « de perfection » en tant qu'état des conseils évan-géliques ? Il était répondu : Clericus . . . non vi divini juris evan-gelicis consiliis paupertatis, castitatis, obedientiae devincitur ; ac praesertim non eodem modo devincitur eademque ratione, qua ex votis publice nuncupatis in religioso statu capessendo hujusmodi obligatio exoritur. Id autem non prohibet quominus privatim suaque sponte clericus haec vincula suscipiat... Clericus vero regularis, non prout est clericus, sed prout est religiosus, evangelicae perfectionis conditionem et statum profitetur. Pour le reste, il était expressément affirmé que même les « Instituta saecularia » réalisent l'essence de « l'état de perfection », prop-terea quod eorum sodales evangelicis consiliis observandis ali-quo modo adstringuntur. Si des « clercs » se réunissent en un tel « Institutum saeculare », tum ipsi quoque sunt in statu perfectionis adquirendas non utpote clerici sed utpote Saecularis Instituti gr egales.

c) Quels sont les motifs objectifs d'embrasser l'état religieux ? Ce qui, dans l'Allocution pontificale, est dit de l'état religieux, pris en soi, en tant qu'état de perfection, ne doit pas, comme il arrive à certaines sociétés religieuses en leur manière de recruter, dont on se plaint, être identifié avec la vocation de l'individu à la perfection personnelle, que ce soit dans « l'état de perfection » ou hors de lui. Les trois éclaircissements ci-dessus ne concernent point immédiatement la personne individuelle, mais l'état, sa situation de droit et sa nature intime. Ils ne touchent donc point la vocation de l'individu à un état déterminé dans l'Eglise ; ni la vocation de l'individu à la perfection personnelle dans son état ; ni la perfection atteinte de fait par l'individu dans son état ou sa vocation.

Ce n'est donc pas la perfection personnelle de l'individu qui est en discussion. Celle-ci se mesure au degré d'amour, de « charité théologique » qui s'est réalisé en lui. Le critère de l'intensité et de la pureté de l'amour est, selon les paroles du Maître, l'accomplissement de la volonté de Dieu. L'individu est ainsi personnellement devant Dieu d'autant plus parfait qu'il remplit plus parfaitement la volonté divine. En cela, peu importe l'état où il vit, qu'il soit laïc, ou ecclésiastique, et, pour le prêtre, qu'il soit séculier ou régulier.

Il s'en suit qu'il ne serait pas juste de dire que le prêtre séculier, en ce qui regarde sa sainteté personnelle, soit moins appelé à la perfection que le prêtre régulier ; ou bien, que la décision d'un jeune homme à la vocation sacerdotale séculière soit détermination à une moindre perfection personnelle que s'il avait choisi le sacerdoce dans l'état religieux. Il peut se faire qu'il en soit ainsi ; il peut se faire également que le choix par tel ou tel, d'un état autre que celui de perfection vienne d'un plus grand amour de Dieu et d'un plus haut esprit de sacrifice, que le choix de tel autre pour l'état religieux.

En ce qui regarde le prêtre, et de même le candidat au sacerdoce, il n'est ainsi pas difficile d'apercevoir qu'à raison de la dignité et des devoirs de la fonction sacerdotale, il est lui aussi appelé de façon toute particulière à la perfection personnelle. Cela vaut même là où celui qui est revêtu de la perfection sacerdotale vit légitimement dans 1'« état de mariage », comme c'est le cas dans les Rites Orientaux.

En conclusion, il faut donc dire : la vocation de l'individu à la sainteté ou à la perfection personnelle, l'adoption et l'exercice permanent de celle-ci ne peuvent être confondus avec la question de « l'état de perfection », au sens juridique du terme. L'état de perfection se nomme ainsi et est tel, parce que, au moyen des trois conseils évangéliques, il écarte les obstacles principaux à l'effort vers la sainteté personnelle, ou, pour parler plus exactement, est, de par sa nature, propre à les tenir écartés. Mais, que cet état réalise dans la vie du religieux individuel ses virtualités, qu'il conduise effectivement à la sainteté, n'est point donné par le fait même d'embrasser l'état de perfection ; cela dépend de l'effort du sujet, de la mesure dans laquelle, coopérant à la grâce divine il actue les conseils évangéliques dans sa vie.



ACHEVÉ D'IMPRIMER EN LA FÊTE DU SACRÉ-COEUR DE JÉSUS, LE 17 JUIN 1955, SUR LES PRESSES DE L'OEUVRE SAINT-AUÇUSTIN, A SAINT-MAURICE, SUISSE.

Notes de ?

[1] D'après le texte de l'Osservatore Romano (édition française), du 22 janvier 1952.

« Cf. Documents Pontificaux 1951, p. 195.

8 Cf. Jean, 10, 12.

[4] Cf. p. 45-

[5]Ezéch. XII, 2.

e cf. p. 43-

[7] D'après le texte allemand de l'Osservatore Romano, du 24 octobre 1052.

' Cf. Discours aux représentants des communes d'Italie, 23 octobre 1950 (Cf. Documents Pontificaux ig$o, p. 470.).

[9]D'après le texte italien de VOssenatore Romano du 25 octobre 1952.

[10]Cant. I, i. 5 Matth. V, 2.

[11]I Cor., 6, 13-15, 19-20.

a I Cor. XV, 42-43-44.

[13]Rom. VII, ïj.

[14]G. Schurhammer — I. Wicki, S. I. Epistolae S. Francis: Xaverii, Romae 1944, Epist. 55, t. I, p. 325.

S Epist. 48, op. c, t. II, p. 273.

[16] II Cor. V., 14.

[17] Epist. 125, op. c, t. II, p. 472.

» Cf. Hebr. XI, 38.

[19] D'après le texte latín des A. A. S., XXXXIV, 1952, p. 888.

[20] Voir au 30 novembre 1952 le texte du Motu Proprio, p. 529.

[21] D'après le texte latín des A. A. S., XXXXIV, 1952, p. 888.

[22] Voir au 30 novembre 1952 le texte du Motu Proprio, p. 529.

[23] Ex. IV, 13.

[24] Is. XLV, 8.

6 Joël IV, 18.

• Ps. LXXI. 7.

[27] Luc III, 4.

[28] D'après le texte latin des A. A. S., 1953, p. 93.

[29] Robert de Monte, Chronique, dans les Monum. Cerm. hist., t. VI, p. 509-35.

S Ricobald de Ferrare, Hist. Imperatorum, dans Script. Rer. liai., t. IX, p. 124.

[31]D'après le texte latin des A. A. S., 1953, XXXXV, p. 8.

î Cf. Radiomessage du 3 mars 1939, A. A. S., 31, sér. II, vol. VI, p. 86.

S Cf. Enc. Summi Pontificatus ; A. A. S., 31, sér. II, vol. VI, pp. 418-419 ; et Enc. Mystici Corporis ; A. A. S., 35, sér. II, vol. X, pp. 242-243.

[34]S. Em. le Cardinal Grégoire Pierre XV Agagianian est l'évêque arménien du Caucase. Il a été créé Cardinal le 18 février 1946.

• Cf. Enc. Rerum OrientaUum ; A. A. S., 20, 1929, pp. 277 et suiv.

[36] II Cor. XI, 28.

[37] Mt. XXVI, 31 ; cf. Me. XIV, 27 ; Zacc. XIII, 7.

is Mt. X, 24.

[39]Jean XV, 20.

18 Mt. V, 11-12.

[41] Ml. V, 44.

[42] I Cor. XII, 25-26.

[43] Luc XXIII, 34.

[44] Col. I, 24.

[45] Mt. XXV, 36.

[46]Jean XIV, 27-28.

[47]lean V, 7.

[48]D'après le texte anglais des A. A. S., XXXXV, 1053, p. 06.

! Cf. p. 531.

[50]II Cor. I, 3.

[51] Phil. Ill, 20.

[52]D'après le texte publié dans les Mandements du Diocèse de Namur 1952, t. II, p. 121.

! Cf. Documents Pontificaux 1950, p. 584. Dans son ouvrage Notre sacerdoce, Editions Fleurus, Paris, 1954, Mgr Pierre Veuillot, au tome II, p. 239, en fin du texte de l'allocution aux Religieux, du 8 décembre 1950, dit ceci : « Ce dernier document de l'allocution pontificale a fait l'objet d'une note explicative importante transmise à Mgr Charue, Evêque de Namur, le 13 juillet 1952 par la S. C. des Affaires Ecclésiastiques Extraordinaires. »



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