Bible chrétienne Evang. - § 376. Conclusion de marc : Mc 16,9-20
(Mc 16,9-20)
— La césure est nette avec ce qui précède § 359 — Mc 16,8*) : moins peut-être dans le récit — car les v. 6-7 ont annoncé la Résurrection et la vision du Ressuscité, sur quoi enchaîne le v. 9 : Ressuscité... Il apparut... — que par le style et le ton. Car les Evangiles sont des témoignages*, avec ce qu'ils impliquent de personnel (cf. § 1 — Jn 1,15c-d J. Guitton), tandis que ces derniers versets ont l'objectivité mais aussi la brièveté un peu sèche d'un < Credo >. Ce qui ne les empêche pas d'être soulevés par un élan qui porte cette finale jusqu'au point d'orgue des v. Mc 16,19-20*. Cf. J. Hug : La finale de l'Evangile de Marc, Gabalda 1978. La version courte, et le texte apocalyptique ajouté entre les v. Mc 16,14-15, sont donnés dans Tob n. o.
Mc 16,9-14 — Sommaire des apparitions : à Marie-Madeleine (Mc 16,9-10 : § 361 , aux disciples d'Emmaüs (Mc 16,12-13a : § 364 , et enfin aux Onze (Mc 16,14-18 : § 365 -367). Plusieurs expressions, reprises des Évangiles, montrent que ce texte a été composé comme un tout, qui se suffit à lui-même : « le matin du premier jour après le sabbat » (cf. § 359 ; J. hug, p. 45-51) ; ou « Madeleine, de qui avaient été chassés 7 démons » (= § 124 — Lc 8,2).
Il se montra sous une autre apparence (Mc 16,12): soit référence au < jardinier > se faisant < voyageur > avec les disciples d'Emmaüs (Jn 20,15 et Lc 24,15), soit que l'humanité glorifiée de Jésus se montre libérée d'une apparence déterminée, pour correspondre à l'état d'esprit des voyants — comme c'est notable dans les apparitions de la Vierge à La Salette, Lourdes et Fatima.
Mais ce rappel des apparitions a surtout pour but: accessoirement d'en faire la source de l'annonce évangélique (Mc 16,10 Mc 16,13 Mc 16,15), et principalement de mettre en garde contre l’incrédulité (Mc 16,11 Mc 16,13-14), préparant ainsi le v. Mc 16,16, qui apparaît comme central.
Ce thème de l'incrédulité est d'ailleurs caractéristique de Saint-Marc (Mc 4,13 Mc 4,40 Mc 6,6 Mc 6,52 Mc 7,18 Mc 8,17-18*); mais il apparaît aussi au sujet de la Résurrection en Mt 28,17b*; Lc 24,11 Lc 24,25 Lc 24,37 Lc 24,41 Jn 20,24-29*. Il est aggravé ici non seulement par la triple répétition, mais par les termes employés. Reprocher est le verbe de Mt 11,20 où Jésus « profère des imprécations » contre les villes qui, favorisées de ses miracles, n'en avaient pas moins refusé de faire pénitence (= de croire). Incrédulité : Vise non seulement une défiance légitime aux dires des femmes (Lc 24,22-24) et un certain recul critique devant une < apparition > (Lc 24,38 Lc 24,41 Jn 20,25), mais un manque de foi § 144 — Mc 6,6) ou une foi insuffisante § 171 — Mc 9,24). Dureté de coeur = l'Endurcissement § 45 — Mc 3,5*; § 246 — Mc 10,5-9*; § 310 — Jn 12,37-43*). Ce n'est pourtant pas directement l'incrédulité à la Résurrection du Christ qui est reprochée aux Apôtres, mais de ne pas croire « ceux qui avaient vu » (Mc 16,14c) — et cela, non moins que le caractère extrême du reproche, prépare les v. 15-20 :
Mc 16,15 // Jon 3,2 — Allez dans le monde entier : Même universalisme qu'en Mt 28,19*. Mais dans l'A.T. déjà, Jonas est le témoin de la sollicitude divine pour les païens. Proclamez l’Évangile : Suite normale des apparitions, comme aux v. Mc 16,10 Mc 16,13. Mais ici, c'est le verbe du < Kérygme >*, l'annonce proprement dite se trouvant déjà dans l'étymologie de « l'Évangile » (Bonne Nouvelle).
À toute créature : « À comprendre au sens anthropologique de l'expression judaïque. Cette clause insolite < à toute créature > souligne la dimension individuelle de la réaction au message missionnaire. La < prédication de l'Évangile > exige par principe la décision religieuse de la personne même » (DBS x, 576-77).
Mc 16,16 — Celui qui croira... ne croira pas... : C'est l'alternative qui est au coeur de tout ce passage, demandant « la décision religieuse personnelle » (Mc 16,15c*) qu'est l'engagement de la foi *, lui-même décisif pour le Salut ou la condamnation (I. Hug, p. 94-102). Mais la stricte antithèse (< croire — salut >, et < ne pas croire — condamnation >) laisse place à l'addition du baptême dans la branche positive de l'alternative, en conformité avec Mt 28,19. La Tradition chrétienne unanime n'a pas manqué de mettre en valeur les liens de ce sacrement avec la mort et la Résurrection du Christ d'où il tire sa force vivifiante — et cela dès Rm 6 ou Jn 3 :
N. Cabasilas: La vie en Jésus-Christ (PG 150,501-505, tr. fr. p. 27-29): Lorsque nous reproduisons par des symboles [sacramentels] et comme en figure la vraie mort qu'il a subie pour notre vie, le Christ, dans la réalité, nous renouvelle, nous re-crée et nous rend participants de sa vie. En représentant sa sépulture et en annonçant sa mort dans les mystères sacrés, nous sommes, en vertu de - 789 - ces mystères, engendrés, façonnés, et divinement conjoints au Sauveur. Le baptême donne L’être, c'est-à-dire l'existence à l'image du Christ... Il prend les hommes morts et corrompus, et il les introduit dans la vie... Quand le Seigneur a daigné recevoir le baptême de Jean, comme préfigurant le baptême que lui-même donnerait, il ouvrit les cieux, nous enseignant ainsi que, grâce au baptême, nous verrons les régions célestes. Quand il déclare que celui qui n'est pas baptisé ne peut entrer dans la vie, il désigne le saint baptême comme une entrée et une porte : « Ouvrez-moi les portes de justice ! » dit David. Je crois que telles sont les portes qu'il désirait se faire ouvrir... Et entré par ces portes, « il rendra grâces au Seigneur » (Ps 118,19).
Mc 16,17-18 // Ac 4,24 Ac 4,29-30 Ex 4,3-4 — Des miracles : Litt, des < Signes >. D'après ce qui suit, ce sont bien des miracles; mais comme dans Saint Jean, leur désignation comme des < signes >* tend à nous rappeler qu'ils ne valent pas tant pour eux-mêmes que par ce qui se révèle à travers eux. Il ne semble pourtant pas qu'ils soient seulement donnés en signes apologétiques, comme dans le cas de Moïse (// Ex 4,3-4, qui répond à la question : « Et s'ils ne me croient pas et n'écoutent pas ma voix ? », au v. Ex 4,1); autrement dit : ils ne sont pas donnés premièrement pour conduire à la foi, car le verbe grec (à l'aoriste), « marque une antériorité relative de l'acte de croire ». Donc la foi précède, si bien que c'est « à ceux qui auront cru » qu'est promis cet « accompagnement » de signes charismatiques. Que de tels signes confirment la Parole, donc la prédication, c'est évident, et ce sera confirmé au v. Mc 16,20*; mais les v. Mc 16,17-18 parlent plutôt de cette floraison pour elle-même et comme gratuite, de phénomènes extraordinaires dont les Actes nous conservent le souvenir.
En mon Nom* // Ac 4 : Le v. Mc 16,20 précise : « le Seigneur agissant avec eux ». Autres listes de signes miraculeux en Mt 7,22 Mt 10,8 et Mt 11,5 Mt 11,
ils chasseront les démons: Ac 5,16 Ac 8,7 Ac 19,12. Comme le Christ lui-même : Mc 1,23-27 Mc 1,34 Mc 1,39 etc... C'est promis à notre prière § 171 — Mc 9,28. Signe du Règne messianique, le démon devant céder devant « le plus fort » § 117 .
ils parleront des langues nouvelles: Notamment à la Pentecôte (Ac 2,6-12 cf. Ac 10,46 Ac 19,6); peut-être aussi les phénomènes de < glossolalie > (1Co 12-14) ou plutôt sans doute l'analogue du don de < prophétie > (1Co 12,28-29 1Co 14,29 1Co 14,32 Ep 2,20 Ep 3,5 Ep 4,11 Ac 11,27 Ac 13,1 Ac 15,32).
ils prendront à la main les serpents: « A la main », explicatif, ne figure ni dans Nestlé, ni dans Vg. Promis en Lc 10,19, se référant lui-même au Ps 91,13 § 187 . Exemple dans Ac 28,3-6 (et autres, dans J. Hug, p. 118-119).
le poison mortel: va de pair avec le serpent (Ps 58,5). A défaut d'exemple dans les Actes, citons saint Benoît dont c'est la bénédiction qui brise la coupe de vin mêlée de poison « qui n'a pu résister au signe de vie » (Grégoire le Grand : Dialogues II, ch. 3).
ils imposeront les mains aux malades : Les guérisons de Jésus dans les Evangiles, et des Apôtres dans les Actes, sont innombrables. Don promis aux disciples envoyés en mission : § 98 — Mt 10,1. L'imposition des mains à cet effet se trouve en Mt 9,18 Mc 6,5 Mc 7,32 Mc 8,23 Lc 4,40 Lc 13,13, et dans les Actes : Ac 9,17 Ac 28,8. La pratique indiquée par Jc 5,14-16 montre que ce pouvoir est passé dans le sacrement de l'Onction des malades.
Mc 16,19-20 // Gn 5,23-24 2R 2,11-12 Ps 110,1-2 Ps 99,1 Ps 99,6-8 Ac 7,55-56 — Ces deux versets sont étroitement liés autour de Jésus, Seigneur uni au Père (Mc 16,19) et Seigneur de son Église (Mc 16,20). Mieux encore : c'est parce que le Christ est avec le Père qu'il est avec nous. Dans le texte grec, cette < composition > des deux versets est marquée par le balancement : « Mén... Dé...».
Jésus... fut enlevé : C'est le verbe de Lc 9,51 (cf. § 375 — Lc 24,51*). Dans Ac 1,2 Ac 1,11 Ac 1,22, c'est lui aussi qui sert à désigner l'Ascension — par ailleurs dépeinte comme une < montée > (v. 9). Il réfère implicitement aux < enlèvements > d'Hénok et surtout d'Élie (// Gn 5 et 2R 2 — en Gn 5,24 le verbe grec n'est pas le même, mais on le retrouve dans l'éloge d'Hénok en Si 49,14: voir BC IlAm et Bc I*, p. 73-74). C'était l'expression consacrée pour ces deux hommes « enlevés par Dieu » (Si 48,9 1M 2,58). Il y a donc tout lieu de penser que Mc 16,19 s'inspire de ce parallèle, peut-être plus directement encore que de Lc 24,51 ou Ac 1,9-11 qui, par contre, ne semblent pas y faire allusion (cf. J. Huc, p. 131-134 et 135-153; et P. Benoît, rb 1949, p. 199).
dans le ciel: Se trouve aussi dans le // 2R 2,11 2R 2, moment que l'image de l'Ascension est spatiale, son terme doit être le < lieu > qui symbolise naturellement la transcendance divine, et qu'explicite l'image complémentaire :
et Il est assis à la droite de Dieu // Ps 110,1-2, Le < Credo > a repris cet enchaînement: « ...est ressuscité des morts, est monté aux cieux, est assis à la droite de Dieu, le Père tout-puissant, d'où Il viendra juger les vivants et les morts ». Bien entendu, cet aboutissement en Dieu s'accomplit dans l'éternité (< tota simul... >). Mais pour autant que le Christ part de la terre, cette glorification se fait dans le temps, donc par étapes : Pâques, Ascension au 40° jour, et à la fin des temps, Parousie.
L'image de la session à la droite vient du Ps 110. La signification en est complexe parce que foisonnante. Premièrement, la « Vie en permanence (session) dans la proximité de Dieu. Cette proximité est, d'une part, indice de la faveur de Dieu, source de gratification pour le Christ, permettant l'exercice d'un pouvoir, sous l'aspect d'intercession et d'intervention en faveur des hommes; d'autre part, cette proximité entraîne une communion à la condition de Dieu — transcendance, allant jusqu'à l'égalité et unité de nature — et aux prérogatives de Dieu, donc à son pouvoir de présence et dons aux hommes (= seigneurie et domination universelle). Être à la droite de Dieu implique bien une fonction, un Pouvoir* divin, qui s'exerce triplement: a) par la Présence (v. 20) et les dons, notamment du Saint-Esprit, faits aux hommes (Ps 68,19, en // au § 374 ; b) par une intervention et intercession auprès de Dieu en faveur des nommes (// Ac 7,55 Rm 8,34 He 8,1 à He 10,12-14); c) par une domination sur l'Église et l'univers (Ep 1,20-22 1P 3,21-22, en // au § 358 ». Mais cette fonction n'est que l'expression, vis-à-vis des hommes, de la communion du Christ avec son Père, non seulement de par sa nature de Verbe de Dieu, mais jusque dans sa nature d'homme, glorifiée, accomplie en plénitude. L'image de la « session » y ajoute encore stabilité, permanence de l'éternité, Repos du 7° jour (tout ceci d'après l'analyse de M. Gourgues : À la droite de Dieu, p. 223-225; reproduit dans PC IV, p. 299-306, en sa 1° rédaction de thèse du 3° cycle, 1976; cf. aussi J. Dupont: L'interprétation du Ps 110 dans le N.T., dans « Resurrexit », p. 340-419).
Eux partirent : Il semblerait d'abord que l'on se trouve devant une séparation : le Christ part au ciel, les Apôtres se dispersent pour la mission universelle. Mais tout au contraire, parce que Jésus est désormais « le Seigneur » à la droite de Dieu, Il est aussi avec le Dieu omniprésent, donc où que les Apôtres aillent prêcher Il est, partout à la fois, « avec eux » (= Mt 28,20*).
le Seigneur agissant avec eux: Au sens fort d'une collaboration, où Il est évidemment le Chef, si bien que Timothée est appelé par saint Paul « collaborateur de Dieu dans l'Évangile du Christ » (1Th 3,2).
Et confirmant la Parole : En ce sens que le Christ se constitue garant de cette Parole (qui est la sienne, Verbe de Dieu). Les miracles accompagnent (cf. v. 17-18*) et par le fait même, accréditent cette évangélisation.
Loin de se terminer avec l'Ascension, l'Évangile entre donc plutôt dans une nouvelle phase. Elle se caractérise par la Présence invisible du Christ glorifié : Il sera « avec son Église », dans sa prière (Lc 24,53*) et les dons de l'Esprit (Jn 20,22 Jn 7,39 Jn 14,16 Jn 14,25-28), en sa méditation continuelle au coeur à coeur avec le Maître bien-aimé (Jn 21,25) comme dans son apostolat universel d'évangélisation et de sacramentalisation (Mt 28,19-20*; Mc 16,15-16 Mc 16,20). Mais en outre, les // Du Ps 110 commenté par Ep 2,4-6 et Rm 8,34 Rm 8, mènent cet à-venir « jusqu'à la consommation des siècles » (Mt 28,20).
Il est vrai que Mc, citant le Ps 110,1, centre notre attention sur la solennelle - 791 - promotion du « Siège à ma droite ». Mais, d'une part, le titre de « Seigneur », qui risquerait de rester dans l'ombre, Mc le détache en le répétant 2 fois (v. 19 et 20), lui qui, à la différence de Lc ou de Jn, ne nomme guère ainsi le Christ par ailleurs. D'autre part, la finale victorieuse de Ps 110,1 et du v. 2: «jusqu'à ce que je fasse de tes ennemis... Là même, sois le Seigneur », laisse entrevoir le triomphe eschatologique du Messie — « jusqu'à ce que... » revenant à dire : < à la fin > ou < pour finir >. Alors seulement l'éternel Dessein de Salut de l'Amour du Père sera « parfait » en son Fils § 24 — Mt 3,17*), quand tous les hommes qui se seront engagés « avec Lui » en Lui donnant leur foi (Mc 16,16), auront accédé à la plénitude éternelle, à laquelle nous participons jusque-là « en espérance » (// Ep 2,4-6 Rm 8,34 Rm 8,37). «La réalité déjà advenue pour Jésus, devient une possibilité pour l'homme » (M. Gourgues, p. 224-225). « Cherchez les choses d'en haut, là où est le Christ, assis à la droite de Dieu » (Col 3,1).
Cette perspective eschatologique est bien l'Evangile même. Non seulement lorsque Mt 28,20 nous mène « jusqu'à la consommation des siècles », mais de par la déclaration du Christ au moment le plus solennel de sa Passion : « Vous verrez le Fils de l'homme siégeant à la droite de la Puissance, et venant sur les nuées du ciel » § 342 — Mc 14,62*), et plus généralement par la promesse du Royaume*. C'est cette attente du « oh viens ! Seigneur Jésus » qu'entretiennent nos eucharisties « jusqu'à ce qu'il vienne » (cf. § 373 ) — Jn 21,22*) !...
p. 793
Nous avons, dans ce volume, référé aussi largement que possible aux Commentaires de la Tradition et aux Études contemporaines. Comme ces dernières se sont multipliées à l'infini (plus de 1500 sur le seul mystère de la Résurrection), conformément aux règles indiquées en BC II, P. XV:
1. Ne sont données ici que les références aux ouvrages plus généraux. Les études plus particulières, sur un verset ou un paragraphe, sont citées seulement au passage même dont elles traitent.
2. Chaque fois qu'un ouvrage en langue étrangère a été traduit en français, nous référons à cette dernière édition. Par contre, pour les Commentaires de la Tradition, traduits par mère Elisabeth de Solms, on trouvera la référence aux textes originaux, dans la ou les éditions les plus courantes.
3. Voici la liste des commentaires de base que nous avons régulièrement consultés, sans pouvoir d'ordinaire, les citer explicitement à chaque fois (référence complète dans la Bibliographie ci-dessous): Albright (1984), Allen (1947), Barrett (1967-78), Beare (1981), Bonnard (1963), Brown (1966), Bultmann (1968), Bussche (1967), Ernst (1976), Filson (1960), Fitzmeyer (1981-85), Gaechter (1963), Gnilka (1978-86), Gould (1901), Grundmann (1968-69), Haenchen (1984), Hoskyns (1947), Johnson (1972), Lagrange (1911-27), Lohmeyer (1963), Loisy (1903-24), Pesch (1976-77), Plummer (1900), Radermakers (1972-81), Rigaux (1965-74), Schmid (1958-60), Schnackenburg (1965-84), Schurmann (1969), Standaert (1978-83), Tresmontant (1984).
Pour une bibliographie plus complète, voir:
W.G. kummel: Einleitung in das N.T., Heidelberg 1973 (17° éd. refondue). a. Wikenhauser-J. Schmid: Einleitung in das N.T., Fribourg-im-Brisgau 1973.
E. malatesta: St. John's Gospel 1920-1965, Rome 1967 (complété par les bibliographies de h. thyën puis de J. becker, dans ThR 39, 42, 43,44 et 47, ainsi que de X. Léon-Dufour, dans Rech sr 1985, p. 245-280). H.m. humphrey: A Bibliographe for the Gospel of Mk, New York 1981.
F. bovon: Luc le Théologien, Neuchâtel 1978.
R. LAURENTIN : Les Évangiles de l'Enfance du Christ, DDB 1982, p. 549-583 (640 n° pour les deux premiers chapitres de Lc et de Mt).
Resurrexit (Actes du Symposium 1970), Rome 1974) — Bibliographie p. 651-745.
introduction générale: Éd. nouvelle de l'Introduction à la Bible, ni. Introduction critique au N.T.: 2. Les Synoptiques (1976) avec Bibliographie p. 296-299; 4. La tradition johannique (1977), Bibliographie p. 295-311; 6. Évangile et histoire et 7. Les paroles de J.-C. (1986).
Si l'on cherche au plus simple, voir dans la collection « Évangile », les fascicules 1-2, 5, 9, 17 et 31 sur les 4 Évangiles, et encore: 3. Christ est ressuscité; 6-7. Libération des hommes et Salut en J.-C. ; 8. Les miracles; 12. « Selon les Écritures »; 18. Évangiles de l'Enfance; 24. Message des Béatitudes; 30. Jésus devant sa Passion et sa mort; 32. La Sagesse et Jésus-Christ, etc.
Sur l'historicité des Évangiles, voir v. messori: Hypothèses sur Jésus,. Marne 1979. Voir aussi, dans la Bibliographie qui suit, les ouvrages de L. BOUYER, J. DANIÉLOU, J. GUITTON et J. LEBRETON.
II = Parallèles intérieurs à un Évangile donné.
// = Parallèles entre les différents livres de la Bible. Sauf mention plus précise, renvoie aux textes mis en regard des versets d'Évangile sur lesquels porte le commentaire en cours. S'il en va autrement, la référence biblique est suivie de / P., renvoyant à la page où elle se trouve.
* = Après une référence biblique, renvoie au Commentaire!
Après un mot, renvoie à la Table des Termes et Thèmes.
ab = The Anchor Bible, New York.
ADC = Ami du Clergé (Langres).
AssS = Assemblées du Seigneur, 2° Série (1968-75) et 1° Série (1961-67), DDB.
A.T. = Ancien Testament.
BETL = Bibliotheca Ephemeridum Theologicarum Lovaniensiun
Nous utilisons surtout: 6-7. Recueil L. Cerfaux (19543 2 vol.); 12-13. Sacra Pagina, Miscellanea Biblica.. (1959); 18 (et 71), Recueil L. Cerfaux III (1962, complété en 1985) ; 25. De Jésus aux Évangiles (1967) ; 29. L'Év. selon Mt (1972); 32. L'Év. de Lc (1973); 34. L'Év. selon Mc (1974) ; 40. Jésus aux origines de la Christologie (1975) ; 44. <* L'Év. de Jn (1977); 49. Jn et les Synoptiques (1979)1* 60. Études d'Ev. (1982); 70. J. Dupont: Études sur les Évi synoptiques (1985, 2 vol. — parus trop tard pour que nou| référions à ce recueil d'articles, cités par conséquent dans le revues où ils avaient d'abord été publiés), etc.
BJ = Bible de Jérusalem, Cerf 1978.
BL -La Bible de la Liturgie, trad. officielle A.E.L.F.
BNTC = Black's New Testament Commentant, Londres.
BTS = Bible et Terre Sainte.
BVC = Bible et Vie chrétienne.
CC = Corpus Christianorum, Éd. Brépols.
CH = La Bible, trad. Chouraqui, DDB 1974-1977.
CNT = Commentaire du N.T. (Neuchâtel).
CNTC = Cambridge New Testament Commentary.
Concordance BJ = Concordance de la Bible de Jérusalem, Cerf-Brépols 1982.1
Concordance NT = Concordance de la Bible, Nouveau Testament, Cerf-DDB,f 1970.
DBS = Supplément au Dictionnaire de la Bible, Éd. Letouzey.
DC = Documentation catholique.
DEB = Dictionnaire Encyclopédique de la Bible, Brépols 1970.
DR = Dictionnaire des Religions, PUF 1984.
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DZ = denzinger: Enchirídion Symbolorum, 29° Éd., 1953.
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GCS = Die Griechischen Christlichen Schriftsteller, Leipzig.
HTK = Herders Theologischer Kommentar zum Neuen Testament, Fribourg-im-Brisgau.
ICC = The International Critical and Exegetical Commentary
JSNT = Journal for the Studies of the New Testament.
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Ms ou Mss = Manuscrit ou Manuscrits.
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RSR = Revue de Science Religieuse.
RT = Revue Thomiste.
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Bible chrétienne Evang. - § 376. Conclusion de marc : Mc 16,9-20